
- Ligue des champions
- 8e de finale aller
- Man City/FC Barcelone (1-2)
Luis Suárez descend la FIFA


« À ce rythme-là, je ne vois pas comment ils vont tenir. » Ce commentaire entendu après dix minutes de jeu entre Arsenal et Monaco prend une tournure ironique au coup de sifflet final. Le « ils » qualifiant alors les Monégasques qui essuyaient des salves rouges.

Étoilée le week-end, avariée en semaine. C’est, avec un soupçon de mauvaise foi, ce que l’on pourrait dire de cette drôle de nourriture footballistique qu’est la Premier League. Compétition la plus riche, la mieux marketée et la plus intense en fin de semaine, le championnat anglais ne s’exporte pas aussi bien sur les pelouses que sur les télévisions.


Coup de tonnerre à l’Emirates. Coup de foudre. Coup parfait.

Danser sur le corps d’Arsène Wenger avec cinq titulaires sur le flanc et un jeune de 18 ans, personne n’aurait imaginé un tel scénario avant le braquage monégasque de l’Emirates (1-3). Personne sauf Leonardo Jardim.


Patron du milieu de terrain, Kondogbia a illuminé la soirée londonienne et mis Monaco sur la meilleure des voies.

Pas favoris au moment de poser les crampons sur la pelouse d’Arsenal, les joueurs de l’AS Monaco ont livré une prestation de haut vol pour repartir de l’Emirates avec les trois points.

Dans un match où l’Atlético a clairement déjoué, c’est Leverkusen qui réalise la très bonne opération.