Avec le 11 septembre, le programme Apollo ou Les Protocoles des Sages de Sion, le Villarato est le complot arbitral le plus répandu dans les cafés et au comptoir des bistrots madrilènes et barcelonais. C’est ce soir ou jamais.
Depuis l’arrivée du Portugais au Real Madrid, José Mourinho et Florentino Pérez entretiennent des relations agitées. Entre confiance aveugle et rappel à l’ordre, ce binôme ne tient qu’à une seule devise : gagner, gagner, encore gagner.
Depuis le début de saison blaugrana, aucune charnière centrale ne s’est dégagée aux yeux de Tito Vilanova. La faute à de vilaines blessures et des performances en dents de scie. Pour ce Clásico, les possibilités catalanes sont maigres.
Ce dimanche, le Camp Nou s’apprête à recevoir un énième opus de la saga des Clásicos. Un duel qui n’en serait pas un sans Santiago Bernabéu, président et homme providentiel du Real Madrid. L’histoire d’un bel opportuniste.
En dominant la Real Sociedad (2-0), le Betis a fait un bond en avant au classement, s’installant à la 4e place. À Valladolid, l’Espanyol est passé près de sa première victoire de la saison, mais a finalement dû se contenter du nul (1-1).
Ruiz : «Le mec qui fait griller ses merguez, c’est ça la vie du stade !»
Ruiz : «Le mec qui fait griller ses merguez, c’est ça la vie du stade !»
Alexandre Ruiz a des choses à dire. Celui qui officie désormais sur beIN Sport s’est fait connaître en tant que Monsieur foot espagnol sur Canal. Cette veille de Clásico était donc l’occasion parfaite pour revenir avec lui sur ses premières amours.
Ce dimanche, l’Espagne va oublier la crise pendant 90 minutes et plus si affinités. Entre deux manifestations et quelques assemblées générales, il en sera de même pour les Indignés ibères. Témoins du paradoxe local, certains ont raconté à So Foot leur Clásico, leur futbol.