Un auto-kidnapping, une sextape, un transfert regrettable, CR7 malheureux, le flingue de Jean-Mimi, du football le dimanche, Zlatan heureux jusque dans le short et le larfeuilles de Gascoigne, voilà le menu de votre rentrée scolaire 2012.
Trois jours après avoir offert un match de fou face à Manchester United, Newcastle a remis ça à l’Emirates face à Arsenal ce samedi. Par trois fois, les Magpies sont revenus au score avant de craquer sous les assauts de Walcott et cie (7-3).
On le sait, en Angleterre, les footeux s’assoient sur les vacances de Noël. Après avoir croisé le fer mercredi, les clubs de Premier League ont remis ça. Si Manchester United avance à petit pas vers son 20e sacre de champion, Wigan souffle et Swansea continue d’avancer.
L’état des lieux suggère une victoire d’Arsenal. Les Gunners ont gagné leur 3 derniers matchs, n’ont perdu qu’une fois contre les Magpies depuis 10 rencontres et ont eu 4 jours de repos en plus, quand Newcastle affiche des stats de relégable depuis un mois. Mais on le sait, tout ça ne veut rien dire, face à la réalité du terrain…
Au terme d’un match totalement dingue, Manchester City renoue avec le succès à Norwich, dont la qualité sur coups de pied arrêtés n’a pas suffi (3-4). Les Citizens peuvent remercier Edin Džeko, auteur d’un doublé.
Un Alain Roche, un Parc des Princes et un Azpilicueta de perdus, Joey Barton de trouvé. À deux exceptions près, en août, la France y gagnait au change.
Manchester United s’impose donc 2-0. Victoire maîtrisée, on va dire. Le genre de victoires qu’il faut pour être leader. Un but rapidement inscrit, une domination, un moment de doute, et puis Van Persie.
C’est aussi la trêve en Liga, où il sera difficile d’aller chercher le Barça, que Tito a parfaitement géré pendant cette première moitié de saison, avant de repasser sur le billard. Pour le reste, ça bouge en Andalousie, ça s’emmerde à Pampelune et ça inquiète en Galice.
Cette année 2012 a été riche en émotions, entre la Ligue des champions remportée par Chelsea et la victoire de l’Espagne à l’Euro. Retour en images sur douze photos fortes, une pour chaque mois, qui ont marqué l’année par ce qu’elles symbolisent. Première partie, de janvier à juin.
Un Bayern à la recherche de son précieux, de jolies surprises dans le haut du tableau, des cadors qui galèrent, et des équipes qui ne servent vraiment à rien. Le tout agrémenté de mouvements de protestation. Voilà ce que nous a proposé cette première partie de Bundesliga.