En L1, la pression du sprint final commence à se faire sentir. Seul Ajaccio a assuré le spectacle avec une victoire à l’arraché sur Montpellier (2-1). Autrement, Brest s’est incliné face à Rennes (0-2), et trois matchs se sont terminés sur un score nul et vierge.
Et de douze. Mais cette fois, après une belle première période. Auteur d’un premier acte intéressant, les Marseillais ont planté une banderille avant de laisser le ballon aux Lorientais et se rapprochent très sérieusement de la Ligue des champions.
Tottenham manque (encore) un podium qui lui tendait les bras. Everton en profite et rêve, à nouveau, d’Europe. Stoke s’éloigne des profondeurs du championnat et West Bromwich Albion redémarre sa saison. Le reste, c’est ici…
Jouer mal et accrocher la Ligue des champions. Voilà le pari que s’est lancé l’Olympique de Marseille d’Élie Baup pour la fin de saison de Ligue 1. Face à eux, leur antithèse : le Lorient de Gourcuff, plutôt adepte du beau jeau. Question : est-ce qu’encore une fois le mal vaincra ?
S’il en est bien un à qui on incombe la renaissance de l’AS Nancy-Lorraine, c’est bien Patrick Gabriel. Lui, le formateur apprécié et écouté, le recruteur qui a ressuscité la formation lorraine et surtout l’entraineur en train de faire bien plus que de sauver le club de la L2. Et si le meilleur entraineur de L1 était tout simplement là ?
Alors qu’ils menaient 3 à 0 à la 78e minute, les Lillois se sont effondrés et ont perdu deux points face à de courageux et étonnants Sochaliens (3-3). Un sacré échec pour les uns, un bel exploit pour les autres.
Fonds de tiroirs poussiéreux, dettes monstres, arriérés de salaires, exodes massifs, saluts nazis et émeutes. Nous ne sommes pas en 29, à Vienne, mais en 2013 à l’AEK Athènes, un titan du football grec vient de quitter l’élite. Chronique d’une grande dépression.
Monstrueux faces aux défenses sud-américaines souvent faiblardes, le minot à la crête peine à confirmer avec la Seleção face aux ténors du vieux continent. Question : le championnat brésilien est-il archi-faible ou bien Neymar est-il vraiment fort ?
Le dernier carré est sérieux. Il ne laisse pas de place aux figurants. Enfin si, mais de manière très spectaculaire. Que ce soit en Ligue des champions ou en Ligue Europa, il y a eu du level. Forcément, des mecs sont ressortis du lot.