S’il est resté une plaie béante pour le football français, le match du 17 novembre 1993 et ce but de Kostadinov à la dernière minute ont aussi constitué le début d’une belle aventure pour la Bulgarie. Ce qui, dans le pays, à l’époque, constituait une sacrée surprise semblait beaucoup plus prévisible pour les joueurs. Retour sur une folie, avec Dieu et des coups de feu.
Largement dominateur d’une Tunisie décevante, le Cameroun a validé chez lui son billet pour la prochaine Coupe du monde brésilienne (4-1). Auteur d’un doublé, Makoun a été l’homme du match.
En signant à Middlesbrough, Aitor Karanka a pris son monde par surprise. Plus qu’une première expérience en soliste, c’est l’apprentissage d’un autre football qu’est allé chercher l’ex-adjoint de Mourinho. Un José qui, bien qu’à Chelsea, garde un œil attentif sur la carrière de son ancien bras droit.
Europa League, Supercoupe d’Europe, Copa del Rey. En presque deux ans, Diego Simeone a redonné plus que sa fierté à l’Atlético de Madrid. Pour So Foot, son relais Gabi et son ange-gardien Courtois nous le racontent. Pour de vrai.
Le Sénégal n’a pu renverser la tendance contre la Côte d’Ivoire lors du match retour de ces barrages pour le Mondial 2014 (1-1). Disputé sur terrain neutre à Casablanca, le match laissera des regrets à des Sénégalais brouillons qui ont été à un but de la qualification avant de craquer dans les arrêts de jeu.
« Un combat ». C’est le premier mot qu’a trouvé Didier Deschamps à la fin de ce qui restera gravé dans la mémoire du football français comme « la bataille de Kiev ». « Perdu » aurait pu être le second. Une bataille perdue face à l’engagement et le physique des Ukrainiens, des éléments que le 4-2-3-1 des Bleus n’aura que trop rarement réussi à surpasser. Mormeck contre Klitschko ?
Mes paupières sont lourdes/ Mon corps s’engourdit / C’est pas le chlore / C’est pas la chlorophylle / Tu m’irradieras encore longtemps / Bien après la fin / Tu m’irradieras encore longtemps / Au-delà des portes closes…
Une correction, une humiliation… La presse internationale n’est évidemment pas tendre avec l’équipe de France au lendemain de sa déconvenue face à l’Ukraine (2-0). Revue d’effectif des titres assassins et autres gentillesses des papiers de Navarre et d’ailleurs.
Zozulya et Yarmolenko concrétisent, Matuidi et Nasri plombent
Zozulya et Yarmolenko concrétisent, Matuidi et Nasri plombent
Dans un match musclé, les Bleus ont failli collectivement avant de se perdre individuellement. En face, les Ukrainiens ont opéré en deux temps : ils ont agressé l’adversaire pour l’achever une fois fatigué. Ses héros du soir se nomment Edmar, Zozulya et Yarmolenko.
Une claque. Opposés à des Ukrainiens parfaitement organisés et bien plus impliqués, les joueurs de l’équipe de France se sont inclinés sur le pire score possible. Défaits logiquement 2 à 0 par des locaux tout simplement meilleurs, les Bleus vont devoir réaliser l’impossible pour aller au Brésil.