Solide et courageux, l’Olympique lyonnais a tenu tête à la Juventus de Turin sur ses terres… jusqu’à la 85e minute (1-0). Une défaite qui compromet sérieusement l’espoir d’une qualification française dans le Piémont.
À la 89e minute, Petr Čech se fait siffler par le Parc des Princes. Alors qu’il s’apprête à dégager le ballon, le Tchèque prend son temps. Car après une longue 2e mi-temps de souffrance, les Blues n’ont qu’une envie : que ça se finisse. Quand la troupe de Laurent Blanc est parvenue à imposer son rythme, les Blues se sont retrouvés sans solution. Mais ce n’était pas si facile. Et le PSG ferait bien de rester prudent : le Napoli aussi avait gagné 3-1 à domicile en 2012…
«Le PSG n’est pas une copie des Harlem Globetrotters»
«Le PSG n’est pas une copie des Harlem Globetrotters»
Angleterre, Allemagne, Italie, Espagne et Belgique. Sur plus ou moins de feuillets, la presse européenne traite de la victoire 3-1 du PSG sur Chelsea hier soir mercredi en quart de finale aller de la C1, avec tous un mot pour Pastore et presque tous une pensée pour José.
Mercredi soir, les twittos s’en sont donné à cœur joie pendant que Parisiens et Blues gambadaient sur la pelouse du Parc. Peu inspirés par le but d’Eden Hazard, les gazouillis se sont multipliés sur les réalisation parisiennes, avec le bijou de Pastore comme point d’orgue. Retour sur #PSGCHE.
L’Argentin et son but de la 92e minute ont mis Chelsea à terre après une seconde période de haute volée de la part des Parisiens (3-1). Avec deux buts d’avance mais sans doute sans Ibrahimović, blessé, le PSG peut envisager un match retour très rock’n’roll.
En s’imposant 3-1 grâce à ses Argentins Lavezzi et Pastore, le PSG aborde le retour à Stamford Bridge dans une situation plus que favorable. Il faudra tout de même ne pas regretter ce but encaissé sur pénalty. En attendant, le rêve.
En direct : Real Madrid – Borussia Dortmund (3 – 0)
94′ : C’est terminé ! Largement supérieurs quand ils ont passé la troisième, les Merengue s’imposent trois à zéro face à une formation du Borussia trop diminuée par les absences et trop peu réaliste en contre. Le Real a déjà un pied en demi-finale…
Arrivé à maturité d’un parcours semé de blessures et d’une mauvaise publicité, Thiago Motta est un survivant. Avec lui, c’est un football à l’ancienne, qui tente de survivre au quotidien : celui où le vice est aussi important qu’une passe décisive ou une récupération. Ça tombe bien, le Brésilo-Italien manie les trois à la perfection.
Recroquevillé en défense quasiment tout le match, l’Atlético a ouvert le score sur une frappe magique du revenant Diego avant de craquer sur une action de grande classe initiée par Iniesta et conclue par Neymar. Les deux grands bonhommes du Barça ce soir.