Encore une petite semaine en Buli, avec seulement 23 petits buts inscrits. La faute à Wolfsburg, battu par le toujours sémillant Augsburg, ce qui permet au Bayern de s’envoler un peu plus en tête du classement. Sinon, le BVB n’a pas gagné, incapable de marquer à Hambourg.
Ce week-end de Ligue 1 a permis de confirmer le vieil adage de Jean de la Fontaine : la raison du plus fort est toujours la meilleure.
En déplacement à la Mosson, les Lyonnais n’ont pas manqué l’occasion de reprendre leur place de leaders en dominant Montpellier, 5-1, au terme d’un match riche en occasions et en intensité.
Dans ce duel entre deux gros prétendants à la qualification en C1, l’Atlético et Valence se séparent sur un match nul après 90 minutes d’un intense combat (1-1). Les Madrilènes ont voulu faire parler leur expérience, mais Valence a su répondre. Comme un futur grand.
Au terme d’une superbe rencontre, le Napoli et l’Inter se séparent sur un score de parité (2-2). Les Azzurri menaient pourtant de deux buts, mais n’ont pas su répondre à la réaction d’orgueil des Intéristes.
Fatigués, les Guingampais ont cédé du terrain à domicile face à des Lillois inspirés (0-1), qui remontent dans la première partie de tableau.
L’ASSE l’emporte 2 buts à 0 grâce à Mollo et Gradel. Les Lorientais réduits à 10 ont craqué en fin de match. Ils restent premiers non-relégables. Les Verts recollent à un point de Monaco à la cinquième place du championnat.
Trop fort pour un Rayo joueur mais suicidaire, le FC Barcelone a inscrit un set (6-1) et pris les commandes de Liga devant le Real Madrid. Lionel Messi, auteur d’un triplé et revenu à hauteur de Ronaldo, et Luis Suárez, d’un doublé, ont été les fers de lance de la démonstration blaugrana.
Après son match nul face à la Juventus, l’AS Roma a abandonné ses derniers espoirs de Scudetto, ou presque. Avec encore 13 rencontres à disputer en championnat, et un huitième de C3 au programme, la Louve doit désormais se poser les bonnes questions.
Le Milan avait le match en main. La victoire dans la poche. Jusqu’à la 94e, cet appel de Nico López dans le dos de la défense et cette égalisation in extremis. Score final : 2-2. Cela reste cruel pour Inzaghi et ses joueurs.