Après un début de saison à toucher les étoiles aussi bien sur le fond que sur la forme, le FC Lorient se retrouve aujourd’hui comme un coq français un matin de juin 1940, les pieds bien embourbés dans la merde. Comme si les Merlus avaient fait de l’alternance entre le très chaud et le très froid leur spécialité.
Après un début de saison à toucher les étoiles aussi bien sur le fond que sur la forme, le FC Lorient se retrouve aujourd’hui comme un coq français un matin de juin 1940, les pieds bien embourbés dans la merde. Comme si les Merlus avaient fait de l’alternance entre le très chaud et le très froid leur spécialité.
Pourquoi l’Espagne ne se tape que des matchs amicaux à la con ?
Pourquoi l’Espagne ne se tape que des matchs amicaux à la con ?
Après Porto Rico en août et l’Arabie Saoudite en septembre, la Roja s’attaque au Panama. Un énième déplacement à la mords-moi-le-nœud difficile à expliquer sportivement. Qu’importe, les raisons extra-sportives ne manquent pas.
Hugo Lloris joue très peu à Tottenham. Steve Mandanda est toujours indiscutable dans les cages olympiennes. Une question se pose : est-ce que pareille situation pourrait – et devrait – relancer la concurrence au poste de numéro un en EDF ?
L’un a 22 ans. L’autre vient de fêter ses 20 ans. Les deux sont italiens et portent à merveille la crête, avec deux styles différents, certes. Ce soir, pour leur toute première association, la défense française va devoir se les farcir.
Face aux Pays-Bas, le Bayern a décidé de déclarer forfait. Du coup, Joachim Löw en profite pour tester de nouvelles combinaisons, avec les joueurs de Schalke 04 notamment.
Pourquoi les footballeurs font-ils un cœur avec les doigts après un but ?
Pourquoi les footballeurs font-ils un cœur avec les doigts après un but ?
Blaise Matuidi contre Zagreb a célébré son but en faisant un cœur avec ses petits doigts. Sloan Privat contre Lyon également. Mais les Français ne sont pas les seuls à montrer qu’ils ont un coeur. De Di Maria à Vidal, le phénomène est mondial. Mais pourquoi ce coeur ?
Italie-France à Parme, c’est avant tout un match symbole. Jamais depuis l’arrêt Bosman un club italien n’avait autant parlé français que le Parme AC. De Thuram à Biabiany, ils sont plus d’une dizaine à avoir porté le maillot parmesan. Il faut dire que la ville a un faible pour l’Hexagone.
Le médecin du club l’assure, Sochaux mérite sa place « dans le Guinness Book ». Rubrique torsion des genoux. À l’infirmerie, ils sont cinq avec les ligaments croisés en vrac. « Du jamais vu ». Mais qu’est-ce qu’il se passe, bordel ?