Du compte en banque sans limite à la banqueroute, Manuel Pellegrini a tout connu à la tête de Málaga. Loin de ces avaries, il tient pourtant bon la barre d’un navire andalou qu’il a conduit en huitième de finale de C1. En attendant mieux.
Arsène Wenger et l’Europe, l’histoire d’un rendez-vous manqué
Arsène Wenger et l’Europe, l’histoire d’un rendez-vous manqué
L’Europe lui a souvent tendu les bras. Pourtant, Arsène Wenger n’a fait que frôler le graal. Que ce soit avec Monaco ou avec Arsenal désormais. Un comble pour celui considéré comme le meilleur entraîneur français.
Ils sont jeunes, ils sont doués et surtout, ils coûtent très chers. Eux, ce sont les joueurs du FC Porto. Dans le groupe portista, certains vont peut-être disputer leur dernier match de Ligue des champions au service du pape Pinto da Costa en cas d’élimination face à Málaga ce soir.
Si Barcelone veut se qualifier ce soir, il va falloir renverser une situation impossible. Le problème, ce n’est pas le score qu’il faut remonter (2-0), mais la philosophie à inverser.
Ce soir, le Milan AC se déplace au Camp Nou pour tenter de composter son billet pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Les Rossoneri partent avec deux buts d’avance. Un précieux sésame à conserver…
Hamit Altıntop a quitté Schalke en 2007. Aujourd’hui, l’international turc revient sur la terre de ses premiers exploits, non pas pour une visite de courtoisie, mais pour arracher une qualification en quarts de finale avec Galatasaray.
À une unité de la Ligue des champions, la Real Sociedad est la cure de jouvence de cette Liga. Avec son jeu chatoyant et sa jeunesse enfin arrivée à maturité, les Basques de San Sebastián détonnent et étonnent.
Un jour, Mathieu Valbuena a mis un but de légende sur une pelouse légendaire, puis il est retombé sur les fesses. Depuis, le milieu de terrain de l’Olympique de Marseille a ce don de faire rire malgré lui, à coups de chutes et de caleçons colorés. Jusqu’à nous en faire oublier, parfois, qu’il est un joueur génial.
Bien avant l’incroyable 5-5 de la saison 2009-2010, Gerland avait déjà été le théâtre d’un OL-OM généreux en but. L’épilogue de la saison 1996-1997 reste encore aujourd’hui comme le plus gros carnage des vingt dernières années en L1.