Avec un seul but en cinq rencontres, la machine Messi serait-elle en crise ? Oui, répondront les statistiques. Non, contestera le bon sens. Malgré une légère baisse de régime, rien d’inquiétant pour l’Argentin et son Barça qui dispose d’autres armes de destruction massive.
Lors des premières sorties estivales du PSG de Laurent Blanc, d’aucuns s’étaient interrogés sur la « qualité » du collectif parisien. On parlait alors d’individualités, d’égoïsme, d’incapacité à jouer ensemble. Aujourd’hui, à l’heure où le club peut – déjà – valider son billet pour les 8e de finale de la Ligue des champions, le collectif est au-dessus de tout. Et même d’Ibrahimović.
Quel joueur du Real Madrid le Juventus Stadium pourrait-il applaudir ?
Quel joueur du Real Madrid le Juventus Stadium pourrait-il applaudir ?
Ce soir, la Juventus reçoit le Real Madrid au Juventus Stadium. Lors du match aller, le Santiago Bernabéu avait applaudi Andrea Pirlo, rééditant ce qu’il avait déjà fait en 2009, en applaudissant Alessandro Del Piero. Or, ce soir, y a-t-il un joueur du Real qui aura l’honneur de se faire ovationner par le public adverse ?
Un transfert avec beaucoup (trop) de zéros, des bouts de matchs, des petites blessures, une errance sur le terrain et beaucoup de déception. Jusqu’à ce match fou contre le FC Séville il y a une bonne semaine, l’adaptation de Gareth Bale à son nouvel environnement avait tout du chemin de croix. Plus qu’un mauvais souvenir désormais ?
En début de saison, le jeune Belge ne devait être qu’un joueur de complément. Au mieux, un joker de luxe derrière les onéreux Lucas Ocampos et James Rodríguez. Sauf que les performances du milieu de terrain offensif ont obligé Claudio Ranieri à changer son fusil d’épaule. Tellement logique quand on se penche sur le parcours de ce jeune homme ultra déterminé.
Il n’y a pas que Manchester United qui est entré dans une nouvelle ère. Everton a, lui aussi, commencé un nouveau chapitre avec la venue de Roberto Martínez en lieu et place de David Moyes. Avec de bons résultats en poche, les premiers pas de l’Espagnol prennent des allures idylliques et font fantasmer tous les supporters. Peut-être un peu trop.
Il y a un an, quasiment jour pour jour, le Milan AC s’inclinait 3-1 à domicile contre la Fiorentina, et Allegri était à un doigt et demi de se faire virer. Puis la remontée, Balo, la C1, etc. Pourtant, à quelques heures d’affronter à nouveau les Florentins à San Siro, la situation est similaire, ou presque, à celle de l’année dernière.
Que doivent faire la Juve et le Napoli pour arrêter la Roma ?
Que doivent faire la Juve et le Napoli pour arrêter la Roma ?
S’il n’y avait pas la Roma, la Juve et le Napoli seraient en tête de la Serie A, avec un ratio de points équivalent à celui des leaders des autres championnats européens. Manque de bol, la Louve est intraitable. Pour les deux équipes, qui jouent ce soir, il est donc temps de trouver une solution efficace.
Ce soir, la Roma, leader de Serie A, reçoit le Chievo, dernier du classement. Un match des extrêmes, qui peut permettre à la Louve d’entrer dans l’histoire : en s’imposant, elle deviendrait la première équipe à remporter ses dix premiers matchs de championnat. Mais gare aux mauvais tours de l’Histoire, justement.
Après l’atomisation du voisin valencian (4-1), Villarreal se retrouve quatrième de Liga. Et ne fait plus rire personne. Car, entre un entraîneur rigoureux, un groupe soudé et un Madrigal retrouvé, le Sous-Marin jaune n’a rien d’une éphémère surprise.