Le derby du week-end – Grèce – Olympiakos/Panathinaikos
En Grèce, des éternels ennemis irréconciliables
En Grèce, des éternels ennemis irréconciliables
Ils se détestent et se foutent souvent sur la tronche quand ils se rencontrent. L’un était le club des prolos sans le sou du Pirée, mais règne aujourd’hui sans partage sur la Grèce. L’autre était le favori des élites athéniennes, mais doit aujourd’hui faire profil bas. Ladies and gentlemen, voici venir un énième derby des éternels ennemis entre l’Olympiakos et le Panathinaïkos !
Alors que la nouvelle saison de MLS débute le week-end prochain, une franchise a fait parler d’elle tout au long de l’intersaison : Toronto FC, traditionnel bonnet d’âne de la Ligue nord-américaine et qui a mis le paquet niveau recrutement pour espérer enfin s’immiscer en play-offs, voire viser mieux encore. Qu’on se le dise, Defoe, Bradley, Júlio César and co sont en mission.
En une semaine, le FC Porto a peut-être dit adieu au championnat et à l’Europa League. Si rien n’est encore perdu en C3, les hommes de Paulo Fonseca devront sortir un gros match à Francfort pour espérer rebondir. Pas évident lorsqu’on est au fond du trou…
Tout le monde s’attend à une large victoire des Madrilènes, invaincus depuis 26 matchs et de nouveau au sommet de la Liga. Surtout que Cristiano Ronaldo revient de suspension. Pourtant, le club de Gelsenkirchen va s’imposer. Explications.
Contrarié par un corps vieillissant et moins influent en dehors des terrains la saison dernière avec Chelsea, John Terry se destinait impuissant à rendre les armes. C’était sans compter sur le retour de José Mourinho, qui a remis en selle le défenseur anglais de 33 ans. Autrefois adulé, le capitaine des Blues s’évertue aujourd’hui à retrouver son statut d’idole, écorné à mesure des déboires accumulés au fil des ans. Pas gagné.
Complètement foutu en championnat, plombé par des millions de blessures, le BVB n’a plus que les compétitions à élimination directe pour sauver sa saison. Et ce n’est pas un Zénith hors de forme qui va effrayer les Allemands.
Complètement foutu en championnat, plombé par des millions de blessures, le BVB n’a plus que les compétitions à élimination directe pour sauver sa saison. Et ce n’est pas un Zénith hors de forme qui va effrayer les Allemands.
Complètement foutu en championnat, plombé par des millions de blessures, le BVB n’a plus que les compétitions à élimination directe pour sauver sa saison. Et ce n’est pas un Zénith hors de forme qui va effrayer les Allemands.
Complètement foutu en championnat, plombé par des millions de blessures, le BVB n’a plus que les compétitions à élimination directe pour sauver sa saison. Et ce n’est pas un Zénith hors de forme qui va effrayer les Allemands.
Sortis seconds de leur groupe, les Grecs ont réussi le petit exploit de se qualifier pour les 8es de finale de la C1. Petite surprise, l’effectif qui avait fait le boulot en poule a été largement remanié, avec pas moins de onze départs, et cinq arrivées au mercato d’hiver. Pas forcément la recette magique pour battre l’ogre mancunien.