Débutant attirant en 2008, perdant brillant en 2010, froussard incompétent en 2012, le sélectionneur allemand est passé par tous les stades de popularité depuis son intronisation, il y a déjà huit ans. Et si le parcours mi-grandiose mi-dégueulasse de la Nationalmannschaft jusqu’à présent était en train de le sauver ?
Parce qu’une Coupe du monde, c’est surtout avant le coup d’envoi et après le coup de sifflet final que ça se vit. Parce que les supporters à la Coupe du monde, c’est comme les Pit Girls en F1, dans les teasers de match, ils sont mis en avant une image sur quatre. Et parce qu’un Mondial, c’est surtout une immense soirée déguisée qui dure un mois, on s’est dit qu’à l’instar des équipes, les fans aussi méritaient leur fiche. Place à l’Allemagne.
Pourquoi les sélections africaines ont toujours des soucis de primes ?
Pourquoi les sélections africaines ont toujours des soucis de primes ?
À l’image du Cameroun, du Ghana et du Nigeria, les conflits autour du versement des primes de qualification et de leur montant semblent polluer le quotidien des sélections africaines en phases finales de Coupe du monde. Plus qu’une question d’argent, les discussions et les menaces de grève brandies par les joueurs résonnent comme un symptôme de l’éternelle improvisation qui régit les fédérations du continent.
En quelques célébrations volcaniques, le sélectionneur du Mexique, Miguel « El Piojo » Herrera s’est fait connaître du monde. Aura-t-il l’occasion d’exploser face à la Hollande ? En attendant de le savoir, retour en images sur le phénomène.
Pourquoi c’est l’année ou jamais pour les Pays-Bas
Pourquoi c’est l’année ou jamais pour les Pays-Bas
Louis van Gaal enfin populaire, un style tout sauf hollandais, mais des buts en pagaille, Cruyff qui fait la gueule, et un tableau facile. Cette fois-ci, c’est sûr, les Pays-Bas, qui affrontent le Mexique ce dimanche en huitième, tiennent leur première Coupe du monde.
Alors que le 8e de finale Colombie-Uruguay démarre sous peu, il se dit que les Latino-Américains cartonneraient car ils se sentent un peu comme chez eux au Brésil. Et si la réalité était plus complexe, et le raz-de-marée latino à nuancer ?
Avant le match entre le Chili et l’Espagne, le 18 juin à Rio, 88 supporters chiliens ont tenté de pénétrer dans l’enceinte du mythique Maracaña sans billet avant d’être arrêtés par la sécurité. Depuis, ils ont été invités à quitter le pays. Certains ont décidé de rester malgré tout.
Aujourd’hui, c’est la déprime. Après deux semaines de buts fous, de surprises et d’émotions à gogo, la Coupe du monde marque sa première pause. L’occasion de se ressourcer, d’imaginer la vie autrement que par le prisme du ballon rond.
Brune ou blonde, rousse ou ambrée, la bière est aux soirées foot ce que Jesse Pinkman est à Walter White : indispensable. Pièce maîtresse de n’importe quel match, elle se sirote comme du lait d’orgeat et arrose la troisième mi-temps. Si l’alcool était l’équipe de France, la bière serait Didier Deschamps : solide, corsée, parfois amère mais toujours généreuse.
Privés de Coupe du monde depuis 2002, les supporters belges ont déboulé en masse au Brésil, avec beaucoup de produits dérivés et de bonne humeur dans leurs valises. Après la victoire contre la Corée du Sud (1-0), à São Paulo, retour sur le pèlerinage festif à Rio des supporters les plus photogéniques de la Coupe du monde.