Menacé de rétrogradation administrative cet été, Valenciennes poursuit son début de saison noir et court toujours après sa première victoire. Avant la réception du Havre (20h) pour une affiche de la 4e journée entre les deux derniers du championnat, état des lieux d’un club qui n’a toujours pas digéré sa descente en Ligue 2.
L’adversaire roumain de l’OL en barrage de Ligue Europa n’est pas plus connu que le précédent tchèque du troisième tour préliminaire, Mladá Boleslav. Voyons voir tout de même de quel type de club il s’agit et du danger qu’il peut présenter.
Ligue Europa – Barrage aller – Karabükspor/Saint-Étienne
Mais qui es-tu Karabükspor ?
Mais qui es-tu Karabükspor ?
Débarquant la fleur au fusil en Ligue Europa la saison dernière, l’ASSE avait manqué la qualification pour la phase de poules en se plantant un peu honteusement face aux Danois d’Esbjerg. Plus question cette fois de rééditer la même erreur contre d’autres inconnus au bataillon, les Turcs de Karabükspor.
Blessé contre Bastia, le Suédois souffre d’une blessure musculaire à l’abdomen et sa durée d’indisponibilité n’a pas encore été communiquée (on parle d’au moins quatre semaines, voire huit). Quoi qu’il en soit, il va falloir se débrouiller sans lui en attendant son rétablissement. Comment Laurent Blanc peut-il faire sans le MVP du championnat ?
La saison 2000/2001, c’est la dernière avant la razzia lyonnaise. C’est aussi celle pendant laquelle un surprenant promu lillois vient accrocher la troisième place qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des champions. Une double confrontation folle où Johnny Ecker et sa bande avaient dû se débarrasser de Parme. Ils racontent.
Cela fait bien trois ans que l’Inter ne fait plus rêver grand monde, pas même ses tifosi. Ce soir, l’équipe nerazzurra fait ses débuts en Europa League (23h) sur la pelouse de Stjarnan, en Islande. Un passage obligatoire pour Mazzarri et ses ouailles, s’ils veulent retrouver leur aura de l’époque Mancini-Mourinho.
Récemment opposés, en Copa del Rey, en Liga et en Ligue des champions, l’Atlético et le Real se défient ce mardi soir, à l’occasion du match aller de la Supercoupe d’Espagne. L’ultime chapitre d’une guerre des gangs et des styles.
Même s’il n’est pas aisé d’imaginer comment réussir les préliminaires à une coupe aux grandes oreilles, Arsenal semble avoir trouver la bonne technique. Presque un passage obligatoire pour des Gunners qui ont bien du mal, sur les 8 dernières saisons, à entrer sur la scène de la Ligue des champions sans l’aide du mois d’août.
Arsenal, Dortmund et Paris l’ont déjà remportée. Ce soir, à 23 heures, c’est à l’Atlético et au Real de ferrailler pour se l’octroyer. En attendant la Juve et le Napoli en décembre prochain. Mais au fait, ça fait quoi de jouer une Supercoupe ?
L’an passé, Naples vendait Cavani et flambait en recrutant Higuaín et Callejón. Cet été, le club napolitain a été bien plus calme, en faisant signer les seuls Michu et Koulibaly. Vraiment suffisant pour espérer jouer à fond le championnat et la Ligue des champions ?