Le football aime les œufs. Celui sur le crâne de Christian, l’ancien Bordelais et Parisien. Celui que Pato a explosé sur le crâne de Kaká à São Paulo. Et celui qui servait de crâne à l’immense Pierluigi Collina. Mais qu’est-ce que cela donnerait si les œufs étaient des équipes de foot ?
Dans la famille « on n’a pas le même maillot, mais on a le même sang », place à la fratrie Xhaka, avec le cadet Granit qui a choisi la Suisse, tandis que l’aîné Taulant a préféré l’Albanie. À défaut, pour les deux, d’avoir pu opter pour le Kosovo.
À Pékin, le Brésil a entamé sa mission réconciliation avec ses fans en s’offrant le rival argentin (2-0), grâce à un doublé de Tardelli. Messi a manqué un péno, et l’Argentine est retombée de son nuage.
97′ : Et merci à leptesse pour sa référence de puriste au Bâton de Nasazzi. Le mot de la fin pour lui.
Bisous bisous les fous, et bonne aprem grisâtre à vous !
Buteur-star de la Bundesliga depuis quelques années, Robert Lewandowski ne brille pas avec la même intensité en équipe nationale polonaise. Il reçoit chez lui, à Varsovie, le pays qui a fait de lui une référence.
Absent pour cause de blessure, Mamadou Sakho est officiellement toujours dans les petits papiers de Deschamps. Pendant ce temps, Mangala ou Mathieu sont dans les starting blocks.
Argentine-Brésil, une finale manquée et deux chemins
Argentine-Brésil, une finale manquée et deux chemins
Après l’invasion argentine sur les plages de Rio, une série de provocations ingénieuses et la prise de pouvoir manquée de la bande de Mascherano et Messi, le Brésil et l’Argentine ont enfin l’occasion de se battre les yeux dans les yeux.
Quelques semaines après avoir séduit le public portugais, Fernando Santos a pondu sa première liste des 23 depuis sa prise de fonction. L’occasion de se demander quels sont les gagnants et les perdants de ce jeu de chaises musicales à la lusitanienne.
À retenir des matchs de qualification ce soir : la petite forme des Pays-Bas et de l’Italie, difficiles vainqueurs face à des nations mineures, la promenade des Belges, la bonne opération des Tchèques et des Croates, sans oublier la hype islandaise qui continue !
L’Italie s’est fait peur, mais l’Italie s’impose. Au terme d’un match poussif et imprécis, les Italiens ont pu compter sur Giorgio Chiellini, auteur d’un doublé (et d’un csc !) pour venir à bout de l’Azerbaïdjan.