




Habituellement, le marché des transferts n’augure rien de bon pour les clubs argentins. Ruinés pour la plupart, ils tapinent et tentent de refiler vrais talents et grosses arnaques au premier club européen venu.

En Argentine, le troisième Ballon d’or glané par le Rosarino suscite des éloges de partout : tout le monde était préparé à la fête. Avec une pensée pour 2014…




