





La finale attendue entre Santos et Boca n’aura pas lieu. Le champion en titre s’est fait refroidir par ses voisins de Corinthians.


Avec son petit anneau à l’oreille, sa bouche et ses yeux carnassiers, son charisme de gros gibier et sa frappe de balle de bombardier, Juan Sebastián Verón a régalé les puristes entre 1994 et 2012.


La Fédération argentine a concocté un système de relégation tellement compliqué que ce week-end, Tigre peut être à la fois sacré champion et relégué en deuxième division. Du beau n’importe quoi.
