


Mine de rien, le mercato en Serie A a été plutôt agité. L’arrivée de Balotelli au Milan AC est évidemment le gros coup, mais il n’est pas le seul. Naples recrute Rolando, la Juventus fait venir Anelka et l’Inter récupère Schelotto. Entre autres.

En 2012, la Chine devait s’éveiller au foot. Des présidents-mécènes avaient réussi à convaincre des Anelka et Drogba de tenter l’aventure. Mais ces deux-là viennent déjà de revenir en Europe et le constat d’échec s’impose : non, on ne fabrique pas un championnat simplement avec un chéquier. Et quelque part, c’est rassurant. Analyse.




On connaît désormais le refrain. Le dernier jour du mercato, les rumeurs s’intensifient, certains coups sont « faits ». Et puis, au dernier moment, « l’affaire capote », sans que l’on ne sache trop pourquoi. Forcément, ça énerve.



Qatar, Newcastle, Chine. Peu importe la destination que les joueurs de Ligue 1 ont choisie cet hiver, elle a été mauvaise. C’est en tout cas le point de vue dominant en France, où l’époque est à la critique systématique.