Le PMU du coin

Merde, sale histoire ! Pas pire que mon Covid mais sale histoire quand même, surtout pour le canari.

C'est exactement ça.

Et "big up" (c'est passé inaperçu) à Ruud qui vient de se dévoiler dans un coup de sang sur cette page.

En fait PB ça veut pas dire "Pays-Bas" comme certains le pensaient stupidement, mais 'Putin-Bachar' apparemment.

Il met beaucoup d'énergie on le voit bien à jouer au parfait parisien, mais chassez le naturel et il revient au galop...

Et "big up" (c'est passé inaperçu) à Ruud qui vient de se dévoiler dans un coup de sang sur cette page.

En fait PB ça veut pas dire "Pays-Bas" comme certains le pensaient stupidement, mais 'Putin-Bachar' apparemment.

Il met beaucoup d'énergie on le voit bien à jouer au parfait parisien, mais chassez le naturel et il revient au galop...

Il y a déjà un tracteur à Paris.
C'est Icardi

Nan...
Peut-être une nouvelle, mais j'en ai pas le souvenir.
Je crois voir où tu veux en venir...

(Il était pas raciste celui-là ? J'ai du Vincent, sinon, et il est français, Monsieur !)

Gné?

Le pauvre...
Amoureux éconduit à Quatar-sur-seine, il compense!

London, raciste ? C'est possible, mais je ne crois pas.

Disons qu'il était le tenant d'un socialisme assez particulier, fortement teinté de spencérisme et de nietzschéisme. "Construire un feu" (excellente histoire courte) était, paraît-il, le livre de chevet de Vladimir Ilitch Oulianov.

"Martin Eden" ou "L'appel de la forêt" reprennent certaines des idées socio-politiques de London. Je ne sais plus qui ici (Pacoloco ?) m'a aussi recommandé "Le talon de fer". Je l'ai pris à la médiathèque mais je ne l'ai pas encore lu. Cependant, l'éditeur est "Le temps des cerises", basé en banlieue parisienne (Pantin ?). A l'époque où je voulais lire des bouquins du sieur Oulianov, c'était la seule maison d'édition en France à encore éditer ses oeuvres. Ça situe, je pense, assez bien leur positionnement politique...

Non, elle ne l'a pas fait en 18. C'est peut-être justement une des causes (pas la principale, en tout cas...) de la guerre suivante.

Quant aux rebonds des nationalismes et, de manière générale, des identités, c'est aussi tout simplement une conséquence inattendue de l'accélération du processus de mondialisation. Il n'est pas nécessairement besoin d'y voir des hommes malintentionnés s'agitant dans des arrière-boutiques.

Ah ! si, après un bref passage sur internet, il semblerait que London était bel et bien pétri de convictions racistes.

Tiens, en plus je crois que t'aimes bien ce site : https://www.revue-ballast.fr/jack-londo … alentendu/ (j'ai pas tout lu)

D'ailleurs, la période qui précède 1914 est la plus mondialisée avec notre époque.
Même causes, mêmes conséquences.

Oui mais des hommes qui connaissent l'histoire et son mécanisme(je pense évidemment à Zemmour ici). C'est là où c'est tordu.

Après on peut arguer que c'est l'histoire des peuples qui toujours recommence et que rien n'arrête.

Sacré pshit le convoi des Nordaux.

Passée la moquerie et en précisant la bienveillance, pardon, plutôt la sympathie, on met de la bienveillance partout, c'est devenu une tarte à la crème, la sympathie donc, pour tout mouvement tendant à rappeler la souveraineté populaire (même sur les zélites, oui, oui, d'autant que la plupart d'entre elles ne sont pas élues, pour les défenseurs de la démocratie© gnagnagna), ben je dois avouer être un peu interdit devant ce cortège...

C'était plein d'une étonnante naïveté, comme envisager la possibilité d'entrer dans Paris en caisse, y'avait pas vraiment de colère, pas d'exhortations véhémentes (on va bien m'en trouver une pour l'exception, mais rien à voir avec les GJ de ce point de vue), des casses-croûtes, mêmes des piques-niques(!) organisés un peu partout pour se rencontrer physiquement...

Vu de l'extérieur, il avait un parfum de France d'avant, celle de la bagnole, du paquets de clopes à 10 francs, de l'essence pas chère, celle où le pégu pouvait consommer sans trop se poser de questions.

Je sais pas si l'impression est juste, mais ça me paraît pas inintéressant à écouter et à ne pas mépriser à priori...

(Bah moi je l'ai fait!)

Il y avait eu un truc dans le Diplo y'a pas si longtemps aussi...

Je me réserve Martin Eden pour commencer, pas d'originalité sur le choix, il y a l'air d'y avoir quelques nouvelles que je pourrais lire dans la foulée! Avec ce que j'ai déjà sur le feu, je sais pas quand je vais faire ça...

(Ballast, c'est vachement bien foutu! J'adhère pas forcément à tout, mais le soin qui y est apporté est très appréciable...)

(Ah, j'ai quand même lu croc-blanc, comme à peu près tout le monde! Chuis con, huhu...

Puis le «Vincent» incompréhensible c'est Vincenot, mais le rapprochement était sans doute hâtif, encore qu'il m'ait sans doute fait le même effet à la prime adolescence que London pour d'autres.)

T’as vraiment une tendance à lire des choses étonnantes dans les cortèges de décérébrés…

Oui?

Je vais te dire, très honnêtement, que tout le monde ne peut être bourgeois...

C'est ainsi, les gens qu'on voit là-dedans, où avec ces GJ que tu méprisais tant, ils demandent pas la lune, seulement ce qu'on leur a promis.

Pour la plupart, ce sont des gens simples, dans le sens où ils ont pas des aspirations délirantes, ils bossent leurs huit heures, font leurs trajets, passent plus de temps en dehors de chez eux qu'ils le voudraient pour pas gagner des milles et des cents, sont pas exigeants pour leur temps libre, essaient d'élever leur gosses et voilà...

Peut-être que ça fait pas rêver ceux qui ont le privilège de se situer au dessus de cette asse médiocrité qui fait le commun des petites gens, mais s'ils perdent leur taf, ils perdent leur maison, leur couple vole en éclat.

Et la promesse, c'est pas eux qui l'ont faite.
C'est pas eu qui les inonde de publicité, partout, tout le temps...
Ce n'est pas non plus eux qui font les grilles de programmes télé.

Alors, je vais pas mentir, c'est pas toujours super marrant de passer ses journées avec, les conversations sont un peu chiantes, mais la tolérances, c'est pas seulement pour les bonnes causes que la bourgeoisie désigne.
Perso, j'aurais pu en être, un beau décérébré comme tu dis, dois-je considérer comme une chance d'aimer les «bons» films, d'aimer les bouquins?

Sans doute...
Mais c'est le hasard qui l'a voulu, celui de pas avoir de téloche, d'une mère qui m'a appris à lire très tôt, etc.
C'est parce que mes voisin sont des ploucs que je vais leur dénier quelconque droits.

Y'a pas de revanche sociale, de jalousie ou que sais-je encore, juste des pégus qui veulent pas forcément être «mobiles» et rester dans leur patelin, ne pas découvrir sa baraque cambriolée en rentrant en s'écoutant dire qu'on y peut rien ou des «oui mais» avec des pseudo explications qui confinent à la connerie, etc.

Juste qu'on respecte la promesse qu'on leur fait depuis la saint-glin-glin, pas d'écouter des leçons de trouducs qu'on jamais rien fait de leur vie à part se nourrir sur la bête (Macron en est un putain d'exemple), éventuellement en s'évitant les contraintes légales qu'on veut leur imposer, à eux...

Donc le mépris, en fait, il est assez partagé.
Sauf qu'ils sont beaucoup plus nombreux, alors je crois qu'il faudrait un peu les écouter, et éviter de trop les prendre pour des cons.

(*C'est pas parce que mes.
Je passe sur les autres fautes...

En vrai, je me pose la question : de qui dois-je me sentir proche? Est-ce que le mépris est obligé?

Je me sens pas vraiment à l'aise, ni avec les uns, ni avec les autres en fait, mais je pense que les irresponsables ne sont pas ceux qu'on croit.
Et les enculés, de ceux qui ont pourri la vie des autres autour de moi (c'est pas grave y'a la boniche, rires), méprisé, humilié, je vois bien qui ils sont.

M'enfin, pour ce que j'en dis...)

(Pour finir, parce que ça me coûte un peu ces conneries, faut jamais oublier que le statut social des uns -et la rémunération qui va avec- est justifié par l'existence des autres. Et le fait qu'ils l'acceptent, consciemment.
Ne pas garder ça bien en tête est une grave erreur.)

Le bon peuple (même si devenu un peu dingo sur les bords par l'accès libre à l'internet libre, cette fosse sceptique virtuelle) soit il faut se battre pour lui, soit il faut nier son existence. Oublier qu'il existe.

Le conspuer c'est pas très glorieux en effet. Mesquin certainement.

Mmmm penser que ce sont des gens du peuple, des gens simples qui ont participé à ce cortège, est une vraie erreur de jugement car il semblerait que ce sont plutôt des bourgeois oisifs de province.

Quand on zappe sur le meeting de Pécresse on tient à peine trois secondes tellement elle est mauvaise actrice.