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La Fabrique de SoFoot

Le topic de la création. Musique, art, littérature; tout y passe.
[Deuxième alerte auteurs ! En fait c'est complètement con mon post précèdent puisque le but de départ c est justement ce qu'il se passe, je suis vraiment une grosse merde.]

[Merci de ne pas lire ces deux posts]
Message posté par Ounedeur
Dring ! Dring ! Dring !!!!!!

Allô Oui ?

-ici la sous préfete !

Le commissaire se gratte la tête et puis les couilles et finis par se renifler les doigts :

" Oui, enchanté je suis le commissaire ! "
- alors ?

" Alors quoi ? "

L'atmosphère qui recouvre le Commissariat des enquêtes trop chelou commence peu à peu à ressembler à une veillée sur un cimetière indien dont les Indiens serait des vendeurs de roses et autres parasites.

Le commissaire léfaicelui vient de s'en rendre compte aussi et dans un élan de lucidité reponds à la dame :

" On gère ! La mégère ! Et pas à la légère !

Il raccroche le combiné .

Il regrette aussi tôt vu qu'il vient de se rappeler qu il a le cousin du frère du neveu de la sous préfete en stage dans son Commissariat.

Il prend une dizaine de minutes de réflexion et 5 secondes plus tard il crie :

" Je veux couillepue et tronchbite et l autre pd dans mon Bureau ! On a une enquête à résoudre !!! "


Un réalisme quasi-documentaire. Continue.
[CREATION ON]

Comme de bons vieux clébards, Couillebite et Tronchepue, ou l'inverse, rappliquent dans la seconde.

-Oui Chef?

-Les deux teubés, j'ai fait une connerie.

-Encore Chef?

-TA GUEULE TRONCHEBITE ! J'ai raccroché au nez de cette connasse de sous préfette. Sauf que comme un con jui ai dit qu'on gérait, alors je vais être obligé dlui rend' des comptes maintenant.
Bref.
Je me suis rappelé qu'on avait son neveu d'mes deux en stage là, comment il s'appelle déjà...

-Qui ça??

-Mais vous savez là, l'aut' handicapé qui hurle à la mort dès qu'on lui tape l'épaule! Avec sa tête d'ahuri et sa coupe mulet d'enculé!

-Ah!! Glandiniol !

s'écria tout fièrement Couillebite.

-Ouais lui. Bah vous allez me l'sortir au frais un peu, j'ai pas envie qu'il raconte à l'aut' mégère à quel point on fait d'la merde.

-Mais pour aller où Chef?

-Chais pas moi! Soyez imaginatifs un peu, foutez le sur un carrefour et faites le jongler, avec un peu d'chance il nous paiera le kebab.

Tout penauds, les deux sous fifres sortent tête basse et prennent par le bras Glandiniol sans lui dire un mot.

-ET LA PORTE!

...

Putain de débiles, chui vraiment pas aidé. Journée d'merde t'façon, jlai vu venir dès l'début. Mmphff...

Dans un marmonnement toujours plus inaudible, le commissaire Léfaicelui se vautre dans son vieux fauteuil au cuir usé, celui qu'il affectionne tout particulièrement et qu'il a fait venir expressément de son précédent poste à Tourcoing.

On sent chez lui une lassitude extrême, celle si caractéristique des hommes fatigués, presque abattus par une vie pleine d'excès et de nuits blanches.

Ses rides ont, peu à peu, pris le pas sur les traits d'un visage que l'on sentait pourtant harmonieux mais qui est désormais âbimé par la vie et creusé par la fatigue, presque malade.

Il est 16h30.

Alors que les lumières pâles de cette triste journée d'hiver commencent à s'estomper, le commissaire Léfaicelui, mécaniquement, ouvre sa commode et sort la bouteille des mauvais jours. Celle qu'il ne s'autorise que quand le moral est au plus bas.

Il dévisse le liège de son 16 ans d'âge, verse une belle lampée dans son verre, et se laisse enfin aller à ses pensées, épuisé par la journée qu'il vient d'encaisser.

Lentement, le corps du commissaire, entièrement raidi par la tension d'une journée pourtant banale au commissariat de georgia, se relâche, à mesure que son whisky tourbé s'écoule dans sa gorge asséchée.

Soudain, trois tambourinements secs viennent perturber ce moment paisible :

"TOC TOC TOC!"



[CREATION OFF]
Il fallait un protagoniste à la coupe mulet dans cette œuvre, merci SPQR !

Déjà une sixième plume c'est cool, petit à petit l'oiseau n'amasse pas mousse... On garde le cap !


Londuzgeg passe sa tête de gland dans l'embrasure.

"Chef, Londuzgeg au rapport.

- ...

(Le commissaire aimerait être ailleurs, dans son atelier par exemple, à tripoter des écrous et à bidouiller des roulements à billes. Pas avec ses bestioles, celles-ci ayant tendance à aggraver sa mélancolie dernièrement.
Néanmoins, conscient de sa fonction et de ses responsabilités, il s'interdit de manifester son extrême lassitude autrement que par cette réponse matérialisée ici par trois points de suspensions mais se manifestant, pour Londuzgeg, par, en plus d'un silence insécurisant, un regard dont l'ascension depuis le verre désormais débarrassé du moindre centilitre de liquide (celui-ci ayant presque intégralement rejoint les sucs gastriques irrités peuplant l'intérieur passablement négligé du commissaire, à l'exception de 7-8 gouttes s'étant égarées entre sa moustache et ses poils de pif) jusqu'à une hauteur permettant de se planter mollement dans le sien, de regard, à Londuzgeg, suivez un peu par pitié, sinon on va jamais réussir à fermer toutes ces parenthèses, lui aura pris (l'ascension, même remarque) une durée n'excédant pas les 5 secondes, auxquelles la lassitude sus-mentionnée et aisément perceptible, néanmoins, aura conférée des allures de quarts d'heure.
Sans vouloir insister, le regard du commissaire invite Londuzgeg à la plus grande clarté et à une concision proche de l'héroïsme pour un esprit si faiblement doté en ressources synaptiques.)

- J'ai rien trouvé, annonce Londuzgeg triomphalement, malheureusement inconscient du fait qu'avoir si brillamment mené à bien sa mission "clarté & concision" ne contrebalance que très modérément le lamentable échec qu'elle verbalise.

- Bon, bon, je n'en attendais pas moins de ta part.

La bonhommie presque incongrue du commissaire déstabilise Londuzgeg et réduit à néant ses toutes récentes capacités de narration.

- Je-je-j'ai cherché partout, dans tout les magasins qui vendent tous des tondeuses et personne de tout les magasins il a vu un individu patibulaire mais franchement louche leur acheter une tondeuse auto-portée pour tuer des gens dans les parcs.

- ...

(La nature de cette réponse-là diffère légèrement mais les mêmes éléments sont en place: avarice verbale, lassitude, affliction, regard océanique (puisque vague et aqueux), désir d'ailleurs en sous-sol, richement doté en clés allant du 6 au 32, donc on va pas s'étendre).

- Chus confus commissaire.

- Ça je te le confirme Londuzgeg. Bon dégage, rattrape-moi les trois champions et préviens-les des conclusions de ta minutieuse investigation.

- Les champions ?

- Couillepue, Tronchebite et le nouveau là, le fils de la sœur du frère de la tante de mes couilles, je me rappelle jamais son nom mais il est lieutenant.

- Ah oui Glapissan !

- Non c'est pas ça, mais c'est lui. Bref, rattrape-les, ils viennent de sortir.

BLAM

Londuzgeg détale et claque la porte en sortant.

OUïLLOUïLLOUïLLE !!

Richard Bourrafon expérimente avec une dignité relative le climax sensoriel prodigué par le positionnement malavisé de ses phalanges sur le montant de ladite porte.

- Putain il m'a niqué la main ce con de sa mère la chauve et de son père le barb...

- Richard ! Je t'ai connu plus urbain !

- Oui commissaire, ouille, j'ai mal et j'en perds mon latin.

- Oui bah retrouve-le parce que je veux que t'ailles voir la marquise de la Sueur de la Raie de mes fesses et que tu lui expliques qu'ici c'est la brigade de affaires trop chelou et que vu que son affaire est surtout trop merdique, qu'elle aille faire son numéro de ménestrel aux stups, à la criminelle ou même aux mœurs, je m'en carre, mais qu'elle lève le camp d'ici avec son animal de compagnie et son chat.

- Bien commissaire, alea jacta est.

- C'est ça, c'est ça, c'est les aléas du métier, te plains pas, ça pourrait être pire.

- Avé commissaire, morituri te salutant.

- Casse-toi, tu m'emmerdes.


Au même instant, dans les rues crasseues de la ville, une pluie charbonneuse souille les uniformes déjà pas glorieux de l'élite de la brigade des affaires trop chelou.
... J'ai comme l impression qu'il ya un truc qui m'échappe, réfléchis réfléchis tronchebite... J ai 33 victimes sur cette enquête et aucun suspect.. La plupart des victimes sont mortes par meurtres. Ça veux dire qu elles ont étaient assassiné... Mais si avec un peu d'analyse j'essaie de me mettre à la place du tueur ! Violemment du fondement avec une débroussailleuse dans l anus pour la 4eme victime.. Le tracteur tondeuse qui broie les intestins de la 16 ème victime.. Et pour la 8eme victime c'était un coup de sécateur dans les couilles... Mhh hhhh.... Il faut reprendre l enquête depuis le premier meurtre j ai l impression qu on nous mène en bateau, c'est trop gros.

Et si tout ces meurtres n'était qu'une simple diversion.. C'est peut être que des accidents domestiques qu un sombre cinglé deguiserai en meurtres !

-tronchebite !! Tronchebite !

-Moui.. Hé Ho calmos couillepue ! j etais en train de réfléchir...et mais pourquoi tu tiens la main du neveu de la cousine du fils de la sous prefete ?

-je l aime bien. Je l accompagne pour sa formation et pour info il s'appelle guindolo !

-écoute couillepue...tu fais ce que tu veux avec les stagiaires et si jamais y'a encore des enquêtes qui concerne le touche culcul je te couvrerai.. Mais pourquoi il a des morceaux de saucisses accrochés à sa ceinture ?

-je lui ai fourni un vieux calibre et je l'ai formé au stand de tir, comme tiger wood qui forme une femme de ménage !! T'as compris le délire ? En fait j ai juste accroché des morceaux de saucisses de la salle de pause avec du Chatterton... Ça lui fais plaisir au p'tit.!

-Mhhh...

-Sinon tronchbite ? À quoi tu pensais ?

- Et bien j etais en train de me dire qu.. J'ai comme l impression qu'il ya un truc qui m'échappe, réfléchis réfléchis tronchebite... J ai 33 victimes sur cette enquête et aucun suspect.. La plupart des victimes sont mortes par meurtres. Ça veux dire qu elles ont étaient assassiné... Mais si avec un peu d'analyse j'essaie de me mettre à la place du tueur ! Violemment du fondement avec une débroussailleuse dans l anus pour la 4eme victime.. Le tracteur tondeuse qui broie les intestins de la 16 ème victime.. Et pour la 8eme victime c'était un coup de sécateur dans les couilles... Mhh hhhh.... Il faut reprendre l enquête depuis le premier meurtre j ai l impression qu on nous mène en bateau, c'est trop gros.

Et si tout ces meurtres n'était qu'une simple diversion.. C'est peut être que des accidents domestiques qu un sombre cinglé deguiserai en meurtres !


-Mais c'est complètement con tronchbite !

-Hein ? Mai alors pourquoi ?? Monsieur je taquine le goujon avec des stagiaires ?

- Bah pasque le tueur à laisser son ADN sur toutes les scènes de crimes et qu'a chaque meurtre il laisse un bout de papier écrit avec son sperme " Vous m aurez jamais sales poulets ! " .


-Evidemment, désolé couillepue je me suis laisser aller dans des délires de cocainomane en manque.

La fine équipe se retrouve à déambuler dans la rue de la Pompe lors de leur patrouille nocturne. Tronchebite et Couillepue avaient l'habitude de passer par là et de sortir des jeux de mots plus pourris les uns que les autres, quand il ne s'agissait pas de blagues tout bonnement dignes de spectacles de Jean-Marie Bigard. Ils avaient décidé d'emmener Glandiniol avec eux pour l'initier à ce rituel.

Il était 02h30 dans cette froide nuit pluvieuse de l'hiver parisien, pas une chatte à l'horizon malgré la présence d'une animalerie à quelques mètres des protagonistes.

- Bon Glandi, déclare Tronchebite, je peux t'appeler Glandi? Parce que je t'avoue qu'il est casse-couille ton blaz.

- Ok, répond Glandiniol avec le charisme d'une adolescente de 14 ans fan de Justin Bieber.

- Avec Couillepue, on a l'habitude de venir ici pendant nos patrouilles. T'as vu le nom de la rue? Ca nous fait triper à chaque fois donc on essaie de sortir des vannes de cul arf arf arf, c'est notre petit challenge.

- Hu hu hu, glousse Couillepue.

- Ca te dit d'en être avec nous?

- Euh je peux essayer mais je crains que mon vocabulaire ne soit pas adapté, rétorque Glandiniol.

- T'inquiète pas va, avec ton blaz t'as déjà tout le potentiel qu'il faut, explique Couillepue en tentant de rassurer leur nouveau compagnon.

- Je vais te donner un exemple, dit Tronchebite en se donnant un ton paternel. Quelle est la différence entre le whisky et 3 bites?

- Euuuuh aucune idée.

- Ba ta mère tient pas le whisky! HA!

- Hu hu hu, ricane Couillepue.

- Ah je la connaissais pas mais je ne suis pas sûr qu'on se connaisse assez pour être aussi...

- A toi maintenant! balance Tronchebite.

- Euh d'accord. Bon je me lance. Quelle est la différence entre une femme et un préservatif?

- Alors là... Pas la moindre idée, flanche Tronchebite.

- Moi non plus, complète Couillepue.

- Aucune, les 2 passent plus de temps dans votre portefeuille que sur votre sexe.

- Je t'avais dit qu'il était bon ce con! se réjouit Couillepue en lançant un regard plein de complicité à Tronchebite.
Glandiniol toussote alors brièvement.

- bon, et si l’on parlait de l’enquête ?

- Glandi fait du zèleuh ! Hurle alors Tronchebite en agitant ses coudes à la manière d’un canard avant de se mettre à tourner sur lui-même et de reprendre de plus belle :

- Glandi fait du zèleuh ! Glandi fait du zèleuh ! Grand zguèg fait du ski !!!

- je ne fais pas de zèle, mais les 33 victimes, dont certaines émasculées au taille-haie, ne méritent pas vos sarcasmes. Je pense qu’avec un minimum de sérieux, le tueur aurait pu être appréhendé dès son quatrième forfait, vous avez 29 morts sur la conscience messieurs, et vous passez vos nuits à faire des blagues rue de la Pompe…

Abasourdi, Couillepue agrippe Tronchebite qui s’apprêtait à fondre de toute sa masse sur le jeune insolent.

- Oh Gamin ! qu’est-ce que tu nous fais là ? La décompression ça te parle ? On passe nos journées les godasses dans les viscères, on doit décoincer des morceaux de teubs, des langues et des chicots dans des mécanismes de rotofil, alors oui, on a l’impudence de s’accorder des moments de déconne pour éviter de vriller et de buter nos bonnes femmes en rentrant chez nous.

- j’ai quand même entendu que vous aviez un ADN depuis le début et des lettres manuscrites du suspect (Tronchebite souffla un « suce pets toit-même » à peine audible), je m’interroge juste sur la façon dont vous dirigez cette enquête…

Tronchebite expédie derechef son immense index dans le plexus de Glandiniol qui ne peut contenir un râle de douleur. La patience de l’inspecteur est maintenant totalement liquéfiée et commence à suinter par tous les pores de son visage rougi. Il luit sous l’éclairage public tel une lotte sous les néons d’un étal de supermarché.

- écoute bien sac à merde, je ne le dirai pas deux fois : NOUS – SOMMES – LES – MEILLEURS – AGENTS – POUR – BOUCLER – CETTE – PUTAIN – D’AFFAIRE. Pigé ? Je vais te la faire courte et j’espère que tu t’es bien lavé les portugaises ce matin. Les lettres sont écrites par un connard de droitier qui utilise sa main gauche pour brouiller les pistes, il utilise une encre Waterman « bleu sérénité » de type « 6ct » diluée à 31,3 % et appliquée sur le papier dans une pièce où règne généralement une humidité comprise entre 48 et 53 %. Ces cartouches d’encre sont vendues dans pas moins de 817 boutiques d’Île-de-France et s’écoulent en moyenne à raison de 2600 paquets par semaine sur cette zone. Pour le papier, on est sur du produit de ramette classique à 80 grammes, sans empreintes ni poils, jamais. T’entends, JA – MAIS ! Cet empaffé ajoute juste une goutte de sperme sur ses courriers, mais nous l’avons identifié comme un fluide canin. Voilà notre seule piste : ce cinglé possède, ou côtoie, ou masturbe à l’occasion un clébard diabétique. Avec sa passion pour les outils de jardinage, voilà tout ce qu’il nous a laissé savoir à son sujet en 33 scènes de crime. Ce psychopathe est un génie du mal, et toi un abruti fini à la pisse…

- je suis navré, je pensais vraiment que vous n’étiez pas aptes à …

- alors qu’est-ce qu’on fait maintenant ? On te laisse reprendre l’enquête, et on voit si tu peux arriver à appréhender le tueur d’ici quatre forfaits ???!


Penaud, le jeune hoche la tête de gauche à droite et baisse les yeux pour s’arrêter sur les santiags vertes de Tronchebite. À cet instant précis et pour la première fois de sa vie, il ne ressent pas l’envie de rire de l’homme debout dans ces deux horreurs, et lui trouve même presque une sorte de grâce virile devant laquelle il se trouve parfaitement insignifiant.
Tain la tristesse...

Ce topic mort.

Et pendant ce temps là on continues à enculer les mouches.

Bon.

Tant pis je le garde et ce sera mon journal intime.

Préparez vous les modos !
Bon ba ça n'a pas tenu mais on se sera quand même bien marré. Je vais faire un spin off sur Glandiniol, je sens qu'il a du potentiel.
"Des bites et des putes"

Drole de sentiment , ces espaces derrière ces mots .

Lire l abjecte et le comprendre est t'il une sorte de super pouvoir ?
Je ne comprends pas mais je le lis.

Mais qui suis-je ?

Une merde !

Je l espère.

Le peu de considération pour son prochain m interpelle .Sommes nous tous des sacs a merdes notoires ?

Oui.
Et tant pis ..
Et si c'était mon super pouvoir ?

Suis-je plus honnête que moi même ?



Je suis convaincu du contraire et j'en suis bien conscient .


J'ai bien idée ...

Message posté par Ounedeur
La dame aux neufs chattes ...

Bientôt sur ce topic .


J'espère que Bardot aura le premier rôle...

En tout cas c'est toujours un plaisir de te lire Ouny, et ce malgré mon (notre) lâche abandon à ce merveilleux projet...

J'attends la suite avec une étrange fébrilité et un je ne sais quoi d'enthousiasme morbide.
Tu vas conquérir le monde mon ami !
Message posté par Jurietti Time
J'espère que Bardot aura le premier rôle...

En tout cas c'est toujours un plaisir de te lire Ouny, et ce malgré mon (notre) lâche abandon à ce merveilleux projet...

J'attends la suite avec une étrange fébrilité et un je ne sais quoi d'enthousiasme morbide.
Tu vas conquérir le monde mon ami !



Peu importe les échanges entre les uns et les autres..

C'est pas forcément la fréquence l'important mais plutôt l impertinence.

C est aussi con qu'à lire qu à écrire .
Enfin on verra d'ici l episode 1 de la dame aux neufs chattes ..
Bon mais moi j'avais dans l'idée de continuer en vrai, j'ai déjà l'idée directrice du prochain chapitre, faut juste que je prenne le temps. Un de ces prochain jour, je vous livre ça.
Je parlais des aventures de La Brigade des Affaires Trop Chelous, évidemment.
J ai bien une idée ...

Mais elle va pas plaire à tout le monde mais bon peu importe .

Message posté par Ounedeur
J ai bien une idée ...

Mais elle va pas plaire à tout le monde mais bon peu importe .


D'après moi, quand Ounedeur a conscience d'être sur le point de choquer son monde, c'est qu'il prépare du très très sale...
Fais péter cousin !
Ce topic ressemble de plus en plus a une correspondance d'étranges sofootiste.

Ca me rappelle des souvenirs té !
Sinon ...

Ouais ça me fais chier d'écrire des saloperies ici .

Je vais pas tarder à demander mon ban ...

Mais j'ai encore quelques idées de merdes avant de définitivement être effacé de cet espace .

Que des exclus mais j'hésite encore a devenir la caricature d un sombre pseudo ..

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