Le départ du chef est un drame pour le Barça et la Catalogne. C’est son adjoint qui le remplace. Mais il va falloir beaucoup plus qu’un été pour s’en remettre. Le Roi est mort. Vive le Roi ?
Cela fait très exactement 90 jours que l’Olympique de Marseille ne s’est pas imposé en Ligue 1. Heureusement pour les Phocéens, toutes les séries ont une fin, même les plus mauvaises.
Avec neuf équipes pour trois sièges éjectables, la Ligue 1 n’a rien à envier à « The Voice ». Il reste encore cinq journées pour voter et attendre qui va se taper son déplacement en bus à Laval l’an prochain.
Avec neuf équipes pour trois sièges éjectables, la Ligue 1 n’a rien à envier à « The Voice ». Il reste encore cinq journées pour voter et attendre qui va se taper son déplacement en bus à Laval l’an prochain.
Après avoir perdu le titre en Liga et sa couronne en Ligue des Champions, Pep Guardiola a pris la décision de quitter son poste. Sans doute pour changer d’air. Oui, mais pour aller où ?
Ses potes de la Grange-aux-Belles (Paris 10e) lui ont filé un surnom, « Booder », en faisant référence à l’ancienne gloire du football marocain Aziz Bouderbala. Une bonne raison pour lui demander ses pronos.
L’Atletico se qualifie pour sa deuxième finale de Ligue Europa en trois ans. Les Colchoneros ont défendu comme des chiens pour garder leur avantage du match aller.
Dans un affrontement de nouveau dantesque, Bilbao n’a pris un avantage définitif qu’à deux minutes de la fin (3-1) contre un Sporting qui méritait également la finale.
Depuis ce matin, toute la presse catalane s’affole: Pep Guardiola serait proche de raccrocher avec le Barça. Boom. Et plus la menace de son départ se fait grande, plus les éloges pleuvent.
Le tirage au sort avait placé la Ligue des champions sous le signe d’un Clasico programmé en finale. Perdu ! Barcelone et le Real Madrid se sont tous les deux fait sortir.
Vaincu 2-1 à l’aller face au Sporting Portugal, l’Athletic Bilbao doit renverser la tendance pour se qualifier pour la seconde finale continentale de son histoire.
Alors que le Real ne s’est toujours pas remis de son élimination européenne, l’Atletico sourit. Forts de leur avantage acquis à l’aller, les Colchoneros représentent les derniers espoirs madrilènes en Europe.
Après une soirée madrilène cauchemardesque, Valence se doit de remonter deux buts à Mestalla. Mission impossible ? Non, assure-t-on à Valence.
Cristiano Ronaldo a soufflé le chaud, avec un doublé en début de match. Puis le froid, avec des mauvais choix et un péno raté. La faute à un immense Manuel Neuer.
Plombés par une défense en bois, les Red Bulls de New York sont freinés dans leurs résultats, malgré un Thierry Henry toujours au top en attaque.
Le Bayern se débarrasse d’un Real frileux au terme d’une épopée de presque trois heures. Neuer élimine Madrid aux tirs aux buts. Munich tient sa promesse.
Pendant près de 80 minutes, la Juventus et le Milan AC n’ont pas réussi à se défaire des pièges tendus par Cesena et le Genoa. Puis Marco Borriello a surgi, imité quelques minutes plus tard par Kevin-Prince Boateng. Statu quo en tête.
Dans quelques heures, le Real Madrid et le Bayern Munich vont s’écharper pour une place en finale face à Chelsea. Un match qui permettra de trancher sur de nombreux points de discordance.
La course à la troisième place s’affole : la Lazio perd à Novara, le Napoli gagne à Lecce et revient à un point, tandis que l’Inter s’impose lors de la confrontation directe contre l’Udinese. A 18h, lutte Scudetto avec Cesena-Juventus et Milan-Genoa.
Une Roma déprimés et visiblement pas remise de sa raclée à Turin a été abattue en fin de match (1-2) par une Fiorentina réaliste.
Excellent depuis sa prise de pouvoir sur le flanc gauche de la défense du Bayern Munich, l’exotique David Alaba est sans aucun doute l’une des révélations de l’année outre-Rhin.
La demi-finale retour de Ligue des Champions qui a vu Chelsea se qualifier à Barcelone n’a pas enflammé que le Nou Camp. Sur Twitter aussi, la performance des Blues a déchaîné les réactions.
Lionel Messi vient de passer à côté de trois rendez-vous. Malheureusement, ce sont trois rendez-vous qui coûtent une saison au Barça. Et le petit génie a peut-être même perdu un peu plus que ça, hier soir.
Très costaud contre le Barça, Pepe a enfin prouvé au cours d’un Clasico qu’il était avant tout un excellent défenseur. Le tout, sans écraser une main et sans mettre de coups. Enfin, si, un petit, quand même.
Sa place en finale, Chelsea la doit à son courage, à la réussite aussi, à son savoir-faire défensif, à Didier Drogba aussi, et surtout, à Petr Cech, sans qui rien n’aurait été possible.
Une histoire connait toujours une fin. Hier, pour le Barça, elle aura été malheureuse. Compte-rendu depuis la cité de Gaudi d’une soirée si belle qui finit si mal. Enfin, pas pour tout le monde.
Chahuté dimanche par ses supporters et à l’aube d’une rude opposition à San Siro contre le Milan AC, le Genoa est à un point de la zone rouge. A cinq journées de la fin, ils ne sont pas loin de reproduire le schéma de la Sampdoria, descendue en 2011. Ce serait con.
Mardi soir, à l’issue d’un match hyper tendu, ce sont les joueurs de Chelsea qui sont ressortis gagnants aux points. Mentions spéciales pour Drogba et Cech, grands artisans de cet exploit londonien.
Malgré l’expulsion de John Terry, Chelsea a accroché un match nul plein de panache ce soir au Camp Nou (2-2). Messi a raté un penalty au cœur de la deuxième période tandis que Fernando Torres a envoyé les Blues au paradis.
Latéral formé à Cannes, Bernard Lambourde est un mec qui a titillé les sommets. Avec une apothéose au goût d’inachevé. Ce quart de finale disputé face au Barça, en 2000. Dans ses rangs à l’époque, Carles Puyol, déjà, et Pep Guardiola, encore. En face, Roberto Di Matteo et… lui, donc.