Vainqueur de l’OL (1-0), le PSG vire en tête avant le dernier match de la phase aller, à égalité de points avec Lyon et Marseille. L’Hexagoal se jouera entre ces trois-là parce que derrière, le trou est fait.
La fin du monde approche. Du coup, la Juve a voulu faire au plus vite pour être sacrée championne d’hiver, United a tenu à conserver son avance sur City, Dortmund a repris deux points au Bayern Munich, le PSG a joint Lyon et l’OM, et le Barça a remporté la Liga avec 22 journées d’avance.
Ce soir, on connaîtra le pourquoi du comment du retour des Revenants sur Canal Plus. Un beau final en perspective et l’occasion d’entendre encore une paire de fois le générique signé par les Écossais de Mogwai, fans inconsidérés du Celtic…
Les deux Thiago au savoir-faire, Matuidi au four et au moulin et Zlatan au contact. Biševac, Lovren et Umtiti sonnés, Malbranque, Bastos et Réveillère submergés.
Ils sont beaux (souvent), moches (parfois), émouvants (toujours), importants (quand même), futiles (donc utiles), impossibles (et pourtant), voire contre leur camp (Escobar RIP), et vont se découvrir au fur et à mesure de ce dernier mois de l’année. Ou s’il ne devait rester que 100 buts, pour autant d’histoires qui racontent la même chose : le football.
Vainqueur 4 à 1 de son dauphin, le Barça continue son parcours de santé en Liga. Messi a encore inscrit un doublé et a éclipsé Falcao, beaucoup trop seul face à la puissance collective des Catalans.
Sérieux sans être brillants, les joueurs du Paris Saint-Germain dominent une faible formation lyonnaise 1 à 0. Le PSG dépasse son adversaire du soir à la différence de buts et reprend les rênes de la Ligue 1.
Après une défaite face à Vigo cette semaine, le Real Madrid a offert une pauvre partition face à l’Espanyol. Rejoint dans les derniers instants par un Espanyol de Barcelone sérieux (2-2), les Merengues ont dit au revoir à une deuxième Liga.
En Espagne aussi, ce soir c’est choc entre le leader et son dauphin. Sauf que là-bas, le FC Barcelone peut, en cas de victoire face à l’Atlético, tuer tout suspense pour la suite du championnat. En mettant toute concurrence à minimum neuf points.
Au terme d’un match globalement maîtrisé, le PSG l’emporte sur la plus petite des marges face à Lyon (1-0). Les hommes d’Ancelotti récupèrent du même coup la tête du championnat.
Depuis deux semaines, Paris va mieux. Beaucoup mieux même. Une victoire face à Porto, deux démonstrations en Ligue 1 et un collectif qui semble enfin se mettre en place. Un renouveau tactique ou un simple changement d’attitude ?
Pour un match qui devait rimer avec victoire et buts au Chaudron, Saint-Étienne a déjoué et perdu face à Lorient (0-2). Les Merlus, impeccables dans la maîtrise et la gestion de la rencontre, récoltent ainsi un quatrième succès consécutif en Ligue 1.
Net vainqueur de l’Atalanta (3-0), la Juventus prend une sérieuse avance en tête de la Serie A. Les Bianconeri comptent 7 points d’avance sur l’Inter (battue hier par la Lazio) et 8 sur le Napoli, qui reçoit Bologne ce soir. Derrière, la Fiorentina et le Milan AC assurent face à des relégables, et la Roma chute chez le Chievo.
Paris et Lyon ont toujours entretenu de bons rapports. Dans les effectifs actuels, ils sont d’ailleurs trois à avoir porté les deux maillots (Milan Biševac, Peguy Luyindula et Mathieu Bodmer). Depuis quarante ans, ils sont beaucoup plus.
Nancéiens et Bordelais se sont quittés sur un résultat nul (1-1) ce dimanche après-midi, au terme d’une rencontre médiocre dans son contenu. Un partage des points, bien sûr, qui n’arrange personne.
Après chaque match, c’est la même rengaine : joueurs comme supporters se jettent sur les notes données par les observateurs. Un exercice qui peut s’avérer intelligent, drôle et stimulant. Sauf en France, où L’Équipe fait, souvent, la pluie et, parfois, le beau temps.
Seul aux manettes de la Liga, le Barça peut dès ce dimanche tuer tout suspense en battant l’Atlético. De son côté, le Real s’avance sans aucune certitude face à l’Espanyol. Ou comment définitivement tirer un trait sur l’intérêt de ce championnat.
Meilleur buteur d’un Galatasaray en pleine bourre, Burak Yılmaz a qualifié à lui seul les Sang et Or pour les huitièmes de Ligue des champions, en inscrivant six des sept buts du club. Avant le derby face au Fenerbahçe, portrait d’un buteur. Un vrai.
Éliminé dès les phases de poules de la Ligue des champions, Chelsea espérait sauver les apparences en remportant la Coupe du monde des clubs. C’est raté. Dominateurs pendant une heure, les Blues se sont finalement inclinés face aux Corinthians (1-0).
Guglielmo Stendardo vient de vivre une drôle de semaine. Le défenseur de l’Atalanta n’a pas participé au match de Coupe contre la Roma. Suspendu ? Blessé ? Non non. Monsieur passait ses examens finaux pour devenir avocat. Excusez-le.
Après quelques années de purgatoire footballistique, Obafemi Martins est de retour sur les prés. Dans la banlieue de Valence, il fait les beaux jours du poil à gratter Levante. Un retour au soleil pour le Nigérian à la carrière si atypique.
Lorient, Nancy et Châteauroux sont les seuls clubs professionnels français à avoir franchi le cap du terrain synthétique en compétition. Face aux nombreux avantages que présentent cette surface, pourquoi une telle levée de boucliers dans les autres clubs ? Éléments de réponse.
Grâce à un but de l’inévitable Miroslav Klose, inscrit à dix minutes du terme de la partie, la Lazio est venue à bout de l’Inter sur la plus petite des marges (1-0). Les Romains reviennent dans la course, et font surtout une superbe passe décisive à la Juve.
C’était un bien joli samedi soir, sur les pelouses de Ligue 1. La preuve en chiffre : 19 buts (et des beaux) en cinq matchs. Au final, Montpellier et Nice confirment leur bonne forme, respectivement face à Bastia (4-0) et Évian (3-2).
Réduits à neuf à la pause après l’exclusion de son aile gauche, le Téfécé a bien tenté de résister à l’OM. Mais André-Pierre Gignac est arrivé et a signé son retour d’une jolie lulu, copie conforme de celle signée par Payet mardi soir… contre Toulouse.
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
United ne s’arrête plus, QPR goûte enfin à la victoire
Intraitable à domicile, United reprend six points d’avance sur City et conforte tranquillement sa place de leader. Mais la sensation de cette journée, c’est assurément la première victoire de QPR, comme un petit cadeau de Noël avant l’heure.
Grâce à un Stefan Kießling de gala, le Bayer Leverkusen s’impose sans faire de détails face à Hambourg, et est assuré de finir deuxième de la phase aller. Le Bayern est toujours largement devant, même s’il a peiné face à Gladbach.
L’OM en visite à Toulouse, c’est l’assurance de voir pour une fois le Stadium faire le plein. Relancés au classement après leur victoire à Bastia, les Marseillais veulent confirmer contre un adversaire en crise.
« Very big match » dans les cimes de Ligue 2, ce Nantes – Caen a été une bien belle vitrine pour deux équipes appelées à retrouver l’élite. Nantes en a surtout profité pour asseoir sa domination.
Largement dominateurs en première mi-temps, les Citizens ont ensuite longtemps souffert. Avec cette victoire à Newcastle (1-3) lors de la 17e journée de Premier League, Manchester City met la pression sur United.
Malgré son contrat valable jusqu’en 2020, Alan Pardew commence à avoir chaud aux fesses. Bonne surprise de la saison dernière, Newcastle pointe à la 14e place. La réception de Manchester City pourrait être l’occasion de se relancer.