Les notes de Rennes-PSG

Steve Mandanda

Une nouvelle masterclass face au PSG après être parti en retraite à 37 ans, juste pour faire rager Elisabeth Borne. L’ennemi public du 7^e arrondissement de Paris.

Hamari Traoré

Le chef de file rennais a montré les muscles puis la voie aux siens en marquant le seul but du match. Captain Biceps, le vrai.

Arthur Theate

Pour sa première face au Grand Paris, Arthur a fait plus de vannes qui ont fait mouche que d’autres qui ont fait plouf. Retrouvez le prochainement au Theate du Rond-Point.

Le calvaire de Marquinhos, c’est comme les travaux : on sait quand ça commence, on ne sait pas quand ça se termine.

Sergio Ramos

Comme Brad Pitt, le temps n’a pas d’effet sur lui tant il présente bien. Comme Brad Pitt, il est encore en haut de l’affiche alors que ses plus belles années sont derrière lui. Comme Brad Pitt, il aurait préféré présenter « Babylon » à Paris plutôt que de tourner un navet sous la pluie à Rennes.

Lesley Ugochukwu

On peut avoir le blase d’un parfum de glace Ben & Jerry’s et rentrer un petit pont fou sur Vitinha. Lesley parler, comme dirait Keen’V.

Warren Zaire-Emery

Première diffusion plutôt réussie pour ce bootleg frais de 16 ans qui mélange Warren Barguil, le Zaïre et Unai Emery. Prends ça, DJ Zebra. Remplacé par Carlos Soler, utile comme de la crème en janvier.

Désiré Doué

Doué, Désiré l’est. Désiré, Doué l’est aussi. Punchline à réécouter sur le prochain album de Nekfeu. Remplacé par Jérémy Doku, toujours moins célèbre que « le Comte » de George Lucas.

Lovro Majer

Désormais, pour accéder au site « psg.fr » , le message d’avertissement à l’intention du jeune public sera « Êtes-vous Majer ? » Remplacé par Flavien Tait, le fameux capitaine Flav’.

Balancer des « J’aime la France » comme Arnaud Montebourg dans les colonnes de France Football cette semaine, c’est bien. Gagner un jour à Rennes en étant sur le terrain quand on ne l’a plus fait depuis septembre 2018, c’est mieux.

Lionel Messi

Pas de Lulu pour Leo à Rennes. Coup dur pour les plateformes à caractère pornographique.

Neymar

Nul et nerveux, c’est évident que le Ney ne s’est toujours pas remis de la défaite de Jair Bolsonaro aux élections présidentielles brésiliennes. Même si ce n’est pas une raison pour jouer au foot comme un putschiste.