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Le 4-3-3 du forum

Si vous lisez le magazine, vous connaissez le principe...

Alignez votre dream team des meilleurs rockers, acteurs, politiciens, commentateurs sportifs, tout ce qui vous passera par la tête...

Alors, c'est qui le numéro 10 dans votre team ?
Gérard Longuet-Eric Zemmour cela ferait une belle paire en pointe de l'attaque des racistes.Avec Hortefeux en soutien,Le Pen en gardien du temple...une bien belle equipe.
Elle penche trop à droite ton équipe. Pas assez équilibré. Tu rajoutes menez et c'est parfait.
je vais livrer mon équipe type, en sachant qu'à peu de choses près, ma culture football démarre vers l'an 2000.

Iker Casillas: première ligue des champions avant d'avoir 20 ans, en enchainera d'autres pas la suite. Le gardien qui fait des relances de folie pour lancer des contre-attaques éclairs à la main. Illustration avec le "lancé de javelot" dixit JML d'hier soir.

Roberto Carlos: c'est pas compliqué, c'est le modèle dde tout les lateraux du monde. A revolutionner le poste à ce qui parait, honnêtement j'en sais rien. Des coup francs de malade, mais surtout une animation incessante sur le couloir gauche. Son association avec Zidane m'a fait rever.

Alessandro Nesta: Solide tactiquement, solide defensivement, solide physiquement, solide à la relance. Un italien sorti tout droit du Fort Alamo, qui dit mieux ?

Paolo Maldini: Une carrière exeptionnelle, un classe incroyable.


Makelélé: regardez la finale de ldc de chelsea contre Man U, vous comprendrez. A contunier de progresser, pour ajouter à sa panoplie de fossoiyeur du milieu de terrain celle de relanceur aguerri.

Pirlo: la classe et un toucher de balle incroyable.

Zidane: le vrai meilleur joueur de la decennie.

Ronaldinho: quand il était au Barça, je me frottait les yeux pour savoir si ce que je venais de voir était réel.

David Villa: humble, hyper efficace, valencian. Oscar du meilleur second rôle haut la main.

Eto'o: outre les declarations à la con, on sent que quand il rentre sur un terrain, c'est pas pour se rouler les pouces. Fils fit trembler le monde à chacun de ses pas pour mieux le dominer.

CR9: Yes we can. Il deviendra le plus grand joueur de l'histoire. Si le Real ne lui fait pas pété un cable entre temps.
A ce rythme là, ça donnerait plutôt :

Gardien : Valéry Giscard d'Estaing. Ultime rempart. Capable de faire un tour d'honneur pendant près de trente ans. Ses cages sont inviolées depuis trop longtemps.

Charnière centrale : Eric Besson et Brice Hortefeux. Renvoient les adversaires à leurs études. Le plus loin possible.

Arrière droit : Dominique Strauss-Kahn. Si ça ne tenait qu'à lui, il évoluerait à gauche. D'ailleurs, il ne cesse de répéter dans la presse que son vrai poste, c'est de l'autre côté du terrain. Un banquier à gauche ? Soyons sérieux.

Arrière gauche : Arnaud Montebourg. Toujours à la relance. Dur sur l'homme, mais surtout sur ses propres coéquipiers. Souriant. C'est quand le mercato ?

Milieu droit : François Bayrou. Ben quoi ? Jouait initialement dans l'axe. Croit toujours y évoluer. Pas besoin de lui annoncer le changement, il s'y déporte tout seul.

Milieu gauche : Olivier Besancenot. Ses coéquipiers refusent de lui transmettre le ballon, alors qu'il multiplie les appels le long de la ligne, en levant le bras. Finit toujours par s'exaspérer de la médiocrité de ses camarades, qui la joueraient trop perso, selon lui.

Milieu axial : Ségolène Royal. Dans cette équipe, les défenseurs ont appris très tôt à sauter les lignes, et à chercher directement les attaquants.

Ailier droit : Jean-Marie Le Pen. Souvent en position de hors-jeu, trop souvent, capable d'aller attendre le ballon au point de corner. Ses coéquipiers trouvaient qu'il en faisait trop. Aujourd'hui, ils ont fini par l'oublier.

Ailier gauche : Martine Aubry. Lizarazu était un attaquant devenu défenseur, Martine, c'est tout l'inverse. Habituée à défendre le bout de gras, elle est enfin sur le front de l'attaque. Pour l'instant, ses compteurs sont encore vierges.

Attaquant de pointe : Nicolas Sarkozy. Sniper. A promis qu'il finirait meilleur buteur du championnat. Reçoit plus de passes décisives de la part des adversaires que de ses coéquipiers. Plonge souvent dans la surface pour obtenir un penalty, mais évite toujours la sanction administrative. Tacle au niveau de la gorge. Capable de faire dégénérer un match en baston collective, il est alors assez adroit pour réclamer le soutien de ses coéquipiers et se planquer derrière eux. A menacé de mort celui de ses coéquipiers qui tenterait un jour une panenka pendant une séance de tirs au but.

Entraîneur : Jean-Pierre Raffarin. Classe en jogging, refuse de se mettre aux costards.

Premier supporter : Jacques Chirac. Supporter (tellement) français.
Gardien : Loulou nicollin pour le volume métrique et les baffes dans la gueule si t'approches trop près des cages ( sinon en remplaçant Courbis aussi en gardien de prison!)

Charnière centrale : Adolf Hitler et Nicolas Sarkozy ( encore plus méchants que le Wimbledon de Vinnie jones...compensent leur petite taille pas une haine hors norme).

Arrière droit : Bernard Kouchner, en fait il peut jouer des deux côtés selon le sens du vent mais bon, le problème c'est qu'il est mauvais des deux pieds.

Arrière gauche : Lilian Thuram ( mais qu'est ce qu'il foutait à droite, bon pas sur que ce soit une bonne idée de le faire jouer juste à côté du Furher.

Milieu droit : Iggy Pop ( rien que de mettre son nom sur une feuille de match parmi les autres tu rigoles!)

Milieu gauche : Olivier Besancenot, il a une certaine idée du "poste"! Adroit dans la transmission, Benet dans la reception, deviendra un hybride de Raymond domenech et de Pierre de Coubertin.

Milieu axial: Jim Morrison, un créatif qui fini mal, lumineux, meurt en marquant le but de la victoire en finale de coupe du monde!

Ailier droit : Marine Le Pen, se fait renifler à contre coeur le cul par l'arrière droit Kouchner qui tergiverse encore sur sa réèlle position sur le terrain, avance beaucoup trop et comme le père toujours hors jeu ( dixit Arsenic!) Se fait botter le train par Iggy si elle descend trop!

Ailier gauche : Jeff Buckley, vif, élégant quoiqu'un peu fragile, mauvais plongeur.

Attaquant de pointe : Jacques Chirac, toujours titulaire, rarement éfficace mais a gagné la confiance du public qui évidement n'y connait rien, souvent absent...

Entraîneur : Domemench bien sur, en entrainant n'importe qui on peut faire n'importe quoi!

Premier supporter : Et Dieu créa l'Homme.
Allez, moi j'me lance

4-3-3

Gardien: Sarko, en gardien des institutions, relance hasardeuse mais qui peut porter ses fruits.

Latéraux slaves, rugueux sur l'homme
A droite, Poutine frêle mais agressif "on ira les buter jusque dans les chiottes"
A gauche, Staline défense de fer, en taclera dix de plus pour montrer l'exemple

Les centraux, Zemmour, "tacle d'abord relance tant bien que mal ensuite", Joey Starr, chien méchant.

Milieu central: Bayrou "je suis une alternative, fier de ma condition de centriste solitaire" ou Lecanuet "je serai la troisième force" pour les nostalgiques.
A gauche, le Che, toujours dans les bons coups, omniprésent.
A droite Goebbles, fin tireur de coup franc, se fera un plaisir de dégainer contre tout créateur de jeu.

Attaque olympienne:
Au centre: Tapie, renard des surfaces, sait toujours où se placer pour mieux frapper
Courbis. "Vole, ment, plonge"
RLD: Altruiste, jamais payé.

Entraineur: Raffarin, coaching décisif

Remplaçant: Dati, mise sur la touche
Putain, j'ai bien ri pour la titularisation de Goebbels. Fallait oser, c'est bien joué.
Putain, j'ai bien ri pour la titularisation de Goebbels. Fallait oser, c'est bien joué.
Més que un Club oblige, ce sera un 3-4-3

Gardien : Zubizarreta
Même s'il s'est pris des buts de merde il reste un gardien légendaire du Barça, tout comme Ramallets, même si ce sernier est en partie responsable de la défaite contre Benfica en 1961 en finale de la C1. Zubi sera très prochainement dépassé par Valdés, mais pour l'instant c'est lui qui porte les gants.

Charnière centrale : Koeman et Puyol
Le 1er, surnommé "Rony le rouge" était le premier démineur de l'équipe, capable de marquer d'un obus, déclenché de presque le milieu du terrain. Porto pourra vous le confirmer.
C'est sans doute le défenseur le plus efficace offensivement de sa génération.

Puyol, ses interventions sont parfois miraculeuses. C'est un guerrier qui a d'ailleurs déjà joué avec un masque, le nez pété.
Ses cheveux ont beau être dégueulasses, il est dur sur l'homme et est le capitaine vainqueur de 2 C1. Bientôt 3 ?

Arrière gauche : Sergi Barjuán.
L'une des première pépite de la Masia.
Un petit gabarit au grand talent.

Milieu : Deco, Maradona, Laudrup, Guardiola.
Le 1er, même s'il fut souvent suspendu à cause de son engagement occupe le même rôle de poumon que pouvait le faire un certain Makélélé dans un club rival.
Les années Barça du Pibe de Oro ne sont pas ses meilleures, mais on ne peut pas dire qu'elles soient catastrophiques pour autant. Sans le boucher de Bilbao il pouvait aspirer à mieux.
Laudrup, l'élégance à l'état pur, le seul véritable descendant du Maître hollandais.
Ses louches, ses ouvertures, ses dribbles chaloupés sont encore dans toutes les mémoires.
Pep, lorsque le ballon lui arrivait il en repartait aussitôt plus propre et plus rapide à destination des attaquants. Tout surpris de la clarté et la propreté de la sphère qui semblait toute sortie du magasin.

Ailier droit : Messi. Même s'il est encore en activité sous la tunique Blaugrana, il est déjà rentré au panthéon des grands attaquants du Barça.
Sur son côté droit, il repique au centre en évitant habilement tous les défenseurs, qui le savaient, mais qui le regardent impuissant les éliminer et se diriger vers leur but dans lequel il rentre avec la balle.

Avant-centre : Romario. Un clone de Maradona qui vivait la nuit.
Inventeur d'un dribble magique un soir de Clàsico 1994 où il inscrivit 3 buts. La condition nécessaire pour pouvoir se rendre au Carnaval de Rio, où là aussi il réalisera un triplé...

Enfin, le meilleur pour la fin, le Maître, le Maestro, El Flaco.
Qui a su apporter au Barça ce qu'il avait appris de son mentor Michels, ex-entraineur également du Barça. Mais au Barça, la méditerranée oblige, la folie s'est ajoutée à un schéma tactique révolutionnaire. La Massia est alors devenu un laboratoire créateur de champions où on joue de la même façon dans toutes les catégories de jeune.

Entraîneur : César Luis Menotti, l'autre El Flaco. Champion du monde 1978 et artiste esthétique aux longs cheveux.

Comme on ne peut jouer à plus de 11 :
Remplaçants : Josep Samitier, aka "El Mago", Tarzan Migueli, Rivaldo, Ronaldinho, Ronaldo, Eto'o, Kubala, Neeskens, Charly rexach, Krankl, Schuster, Stoitchkov, Luis Enrique, sans oublier Joan Gamper sans qui tout cela n'aurait été possible.

Premiers supporters : Marc Sabatés et Jimmy Jump.
le fan ultime et le sauteur catalan le plus connu du monde.
Eric woerth est aujourd'hui le vrai chasseur de but, il est super efficace, il a su se faire oublier des défenseurs et il a toute la confiance du coach.
j'ai jamais posté mon 11 titulaire façon 4/3/3 so footien, le voilà:


Gardien : Utilisation des mains pendant que les copains tâtent du jongle. Une seule mission : défense d’entrer. Il me faut un kamikaze à contre courant indépendantiste : Alejandro Zobaran, alias "Xarlas" (chef militaire de l’ETA).

Arrière latéral : Olivier Besancot, le vélo sous la main pour les montées offensives, et la lutte défensive il connait.

Arrière droit : Brice Hortefeux : des débordements tranchants et toujours sur l’homme, sécurité défensive avant tout et application à la lettre des consignes : « brice , ceux qui n’ont pas le même maillot que toi tu les expulses de ta zone défensive »

Arrières centraux : Sultan Kösen (homme le plus grand du monde soit 2m47) , imbattable dans le jeu aérien et impérial sur les coups de pied arrêtés.
Francis Heaulme : un boucher en défense, un tueur sur l’adversaire, découpeur de tibias et péroné, atteint du syndrome de Klinefelter qui en fait un coéquipier modèle : il ne fera pas de petits dans le dos de l’entraineur ou de ses coéquipiers.

Milieu défensif : Nicolas Canteloup, simplement pour l’imitation de la desch (1er français a avoir soulever la CDM et la C1). Rôle de la blague(=plaque) tournante au milieu, taketikement & tekenikement présent à domicile comme à l’extérieur

Milieu gauche : Bernard Tapie, le lien entre le milieu et la gauche, s’est toujours relevé du tapie, force de caractère indispensable pour les remontadas

Milieu droit : henry Botey dit le parrain de pigalle, premier proxénète de France, proche de Valery Giscard d’estaing, le milieu penche à droite, très fort en pénétration balle au pied, il sait également faire des passes au petit copain

Attaquant gauche: une titularisation en forme hommage : Oxmo Puccino, il me fallait un chanteur, il sent bien les coups offensifs façon cyrano de bergerac

Attaquant droit : Jean louis Borloo, indispensable à la cohésion du groupe, titulaire dans les 3 mi temps.

Attaquant central : Jerome Kerviel, la moindre faille dans la défense adverse il sait l’exploiter et la transformer en but
C'est du boulot tout ça, si j'ai le temps je m'y colle aussi. Bien joué Avon. J'imagine que Rachel coupe les citrons à la mi-temps (running gag).
o plaisir les collègues so foot, je vais vous envoyer du 4/3/3 avec du thème dorénavant,

réveil difficile devant monte carlo, 1er set pour ferrer sur le tyrollien, tu peux pas test la génétique
Je vous prépare un petit 4-3-3 spécial Festival de Cannes 2011. Avis aux cinéphiles érudits.
Un 4-4-2 (finalement) Festival de Cannes 2011 donc, à partir des cinéastes sélectionnés en compétition officielle et à Un Certain Regard lors de la prochaine édition, qui s'annonce bien plus bandante que l'année dernière.

Gardien de but : GILLES JACOB. Présent au Festival depuis 1977, d'abord comme directeur général puis comme président (depuis 2001). C'est le gardien du temple, le doyen, l'homme qui a vu passer tous les entraîneurs et les joueurs. Malgré quelques saisons "sans", il demeure toujours fidèle à un poste auquel il a donné ses lettres de noblesse.

Défenseur gauche : ROBERT GUÉDIGUIAN. A gauche, forcément. Le cinéaste de Marseille, politiquement impliqué, revient à Cannes à Un Certain Regard avec un nouveau film politico-social, "Les Neiges du Kilimandjaro". L'expérience.

Défenseur droit : TAKESHI MIIKE. Une défense sans boucher, ça ne rime à rien. Alors un film de sabres en compét' à Cannes, c'est suffisamment rare pour ne pas être signalé. Et quand ça vient d'Asie, il y a moyen que le travail soit bien fait.

Défenseurs centraux : JEAN-PIERRE & LUC DARDENNE. Sélectionnés à chaque film, il ne reparte jamais bredouille. Des valeurs sures donc. Sobres et efficaces, on n'en demande pas plus à ce poste.

Milieu défensif : ALAIN CAVALIER. Question : est-ce que Deschamps ou Toulalan sont sexy sur le terrain ? Non. Cavalier c'est pareil. Peu connu du grand public, le documentariste français débarque en compét' avec "Pater", probablement un doc chiantissime, comme tous ses films. Du boulot que les autres ne font pas. Du cinéma de l'ombre. Du numéro 6 quoi.

Milieu gauche : AKI KAURISMAKI. C'est un peu le Hatem Ben Arfa du cinéma européen. Le réalisateur finlandais revient sur la Croisette (comme à chaque film) avec "Le Havre", un film tourné dans la ville normande. Comme HBA donc, Kaurismaki est un peu fou, sait mettre l'ambiance, et a un peu de génie en lui.

Milieu droit : GUS VAN SANT. Il pourrait être la star de l'équipe, fort d'un Ballon d'Or dans sa musette ("Elephant"). Mais voilà, son nouveau film ne sera qu'à un Certain Regard. Le début de la fin pour le bonhomme de Portland, obligé de laisser le leadership à plus fort que lui.

Meneur de jeu : TERRENCE MALICK. Il a un peu fait son Zidane version 2006. J'y vais, j'y vais pas. On n'attend que moi mais je pourrais très bien mettre mon film ("The Tree of Life") hors compétition. Et bien non, Malick revient à Cannes en portant sur ses épaules le cinéma américain dans la compétition officielle. Un meneur, et l'homme sur qui tous les espoirs des cinéphiles reposent.

Attaquant n°1 : HONG SANG-SOO. Le Coréen présente tous ses films à Cannes, presque sans exception depuis quelques années. Frémaux, le coach, a dit qu'il ne pouvait s'en passer. Et l'an dernier l'asiatique a scoré avec le Prix Un Certain Regard. Les stats parlent pour lui.

Attaquant n°2 : NICOLAS WINDING REFN. Un peu de sang-neuf sur la feuille de match. Le jeu danois apportera à coup sur son physique musclé et sa hargne sur le terrain, après des premiers métrages violents mais efficaces tels que "Bronson" ou la trilogie "Pusher". Il se retrouve en compét' à la surprise de tous, un peu comme Gignac période Domenech...
chapeau bas julien! sympa le thème cinématographique! good job!

( bon dimanche et allez l'om )

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