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Top 5: Ces joueurs qui murmurent à l’oreille des chevaux
Les joueurs de foot ont de nombreuses passions : les jeux videos, le cinéma, la musique, le golf, les bagnoles, les montres... Certains d'entre eux se tournent même vers les courses hippiques. Par amour des chevaux et, un peu aussi, par intérêt.
Michael OwenMichael Owen n’a pas attendu sa sortie du pré pour rejoindre les pistes. Tout en galopant pour les plus prestigieuses écuries du football européen (Liverpool, Real Madrid, Manchester United), l’Anglais s’est attaché à faire du cheval son autre activité. Devenu propriétaire d’Etienne Lady en 1999, Owen possède également le « Manor House Stales » duquel sortent depuis 2007 des canassons de premier plan, dont sa star, Brown Panther. Jusqu’alors cantonné au port du haut de forme, Owen a même récemment décidé de revêtir la bombe. Une tâche d’autant plus aisée que sa femme, mais aussi sa fille, sont des cavalières confirmées. Du bas de son mètre 73, Michael ne devrait donc pas trop cravacher. Benoit Lesoimier Elevé à l’hippodrome de Cabourg par un père déjà adepte de l’équidé, Benoit Lesoimier n’a jamais perdu de vue sa passion pour l’animal. D’ailleurs, le joueur d’Ajaccio le confesse sur le site officiel du club : « Si je n’avais pas été footballeur, je pense que j’aurais été driver. » . Alors à défaut de s’installer sur le sulky, Benoit a choisi de devenir propriétaire d’une dénommée Talara d’Occagnes, à laquelle il ne manque pas de rendre visite lors de ses passages dans son Calvados natal où la jument s’entraîne. Et se permet même le parallèle avec son métier de footballeur : « J’aime l’intensité, l’adrénaline que procure ce sport. Entraîner un cheval, l’amener vers un objectif, c’est un peu ce que nous connaissons dans le football » . Nul doute que le combat pour la montée en Ligue 1 offrira également à Benoit son lot d’émotions.
Cyril RoolLa passion vient souvent d’une rencontre. Pour Cyril Rool, celle-ci intervient au début des années 2000 alors que le rugueux défenseur offre ses services de boucher à Lens. Par l’entremise de Gervais Martel, Rool se lie d’amitié avec Guy Verva, entraîneur de son état, et se découvre un soudain intérêt pour les crinières racées. Dès 2002, pour célébrer la naissance de sa fille, il achète Malakite, qui après des débuts difficiles lui donnera satisfaction en remportant le prix de Cornulier (trot monté) : « Comme moi sur un terrain, elle ne lâche rien. Même face aux gros gabarits, elle ne se laisse pas impressionner et lutte jusqu’au poteau. J’adore sa combativité, je suis fier d’elle ! » . Recordman des expulsions en Ligue 1 (22), Cyril Rool ne pouvait de toute façon pas en attendre moins de son poulain.
Lionel Charbonnier
Après avoir remporté la coupe du monde 98 dans le rôle du 3e gardien, Lionel Charbonnier n’a jamais réellement profité de son statut de héros national. Préférant la valdingue en tant que coach, entre Thaïti, l’Indonésie et un club belge en déconfiture (le FC Bleid), le portier a beaucoup sacrifié pour les causes désespérées. Heureusement, il est une écurie dans laquelle Lionel a connu la réussite : la sienne. Propriétaire d’un domaine ou s’entraînent des dizaines de chevaux, l’éternel coiffeur tire une partie de ses revenus de cette activité et nourrit une affection toute particulière envers les jolis galbes. Plus en réussite avec les sabots qu’avec les gants, Lionel n’a toutefois pas abandonné l’espoir de triompher sur le banc, à d’Istres. Un mauvais pari puisque le club se cabre actuellement dans les tréfonds du national.
Pierre Deblock
Amiens, Sedan, Auxerre, Bastia : le parcours professionnel de Pierre Deblock fleure bon le championnat d’un autre temps. Et s’il n’a jamais eu la prétention de se considérer autrement sur les prés, l’ancien milieu droit avoue sur Equidia ne pas avoir fait preuve de la même prudence concernant les chevaux: « J’avais des coéquipiers qui jouaient aux courses et je me suis retrouvé une fois avec eux dans un PMU. C’était le jour du Prix d’Amérique et j’en avais 4 sur 5. Sauf que je ne savais pas qu’au Grand Prix Amérique, tous le monde est favori et donc, tout le monde gagne. Mais j’ai cru que j’étais meilleur que les autres » . Mordu depuis ce jour, Deblock a baptisé son premier achat « Sedanaise » avant de se constituer un plus large cheptel de poulains qu’il ne manque pas de suivre sur les champs de course. En observant sûrement plus attentivement les cotes.
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Par Raphaël Gaftarnik