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  • Top 100 : les équipes mémorables de la décennie

Top 100 : les équipes mémorables de la décennie (de 30 à 21)

Par la rédaction de sofoot.com

La décennie 2010, c'était Mourinho qui danse sur la pelouse du Camp Nou, Balotelli qui bombe le torse, Bielsa assis sur une glacière, Eder qui fait pleurer un pays, Griezmann qui le console, mais c'était surtout des équipes qu'il ne faudra pas oublier. En voici 100, pour l'histoire.

#30 - Portugal 2016

Portugal 2016, champion d’Europe

Selon certains, ce Portugal était « dégueulasse » . Il est vrai que le Portugal de 2016 n’est pas aussi excitant que celui de la Coupe du Monde 2006 – où la Selecção a été élue comme l’équipe la plus spectaculaire du Mondial – ou de l’Euro 2004. Sauf que contrairement à 2004 et 2006, où le Portugal a terminé respectivement second et quatrième, la fin a été bien plus joyeuse. Car oui, malgré trois matchs nuls en phase de poule, une seule victoire à la fin du temps réglementaire – en demi-finale contre le Pays de Galles (2-0) – les hommes de Fernando Santos se sont imposés à la surprise générale face à la France chez elle au Stade de France (1-0). Et ce malgré la sortie prématurée sur blessure de Cristiano Ronaldo. Plus improbable encore, c’est Éder – qui était le joueur le plus moqué au pays d’Amalia Rodrigues pour ses contrôles trop longs et sa faiblesse face aux cages – qui inscrit le but de la victoire. Celui qui permet au Portugal de décrocher le premier trophée international de son histoire. Un joueur qui symbolise finalement cette équipe qui n’a jamais cessé de croire à la victoire finale – à l’image de Fernando Santos qui a annoncé en début de tournoi qu’il avait dit à sa femme qu’il rentrerait avec le trophée – et qui s’est battue pour l’avoir. Et comme l’ont chanté les supporters à chaque match à partir des huitièmes de finale : « Pouco importa pouco importa, se jogámos bem ou mal, vamos é levar a taça, para o nosso Portugal » (Peu importe, peu importe, si nous jouons bien ou mal, nous allons soulever la coupe, pour notre Portugal, en VF). SO

Le XI du Portugal qui remporte l’Euro 2016 face à la France (4-4-2) : Rui Patricio – Cédric Soares, Pepe, Fonte, Guerreiro – William Carvalho, João Mário, Renato Sanches, Adrien Silva – Nani, Cristiano Ronaldo.

#29 - Ghana 2010

Ghana 2010, 1/4 de finaliste du Mondial

À la Soccer city de Johannesburg, tout le monde attend la première qualification africaine en demi-finale de Coupe du Monde. Derrière les Black Stars du Ghana, il y a tout un continent qui espère. Et tout le monde se dit que le Ghana va le faire. Des 30 mètres, Sulley Muntari a ouvert le score d’une frappe vicieuse et même si Forlan a égalisé sur coup-franc, l’Uruguay est dans le dur. Et puis symboliquement, le Ghana, premier état d’Afrique décolonisé sous l’impulsion de Nkrumah, dont le drapeau porte les couleurs panafricaines, ça aurait de la gueule. Mais ça Luis Suarez s’en fout. Ce soir là, il a décidé de devenir monsieur le briseur de rêves et d’endosser le rôle de méchant du football mondial. A la dernière minute des prolongations, il sauve sa patrie deux fois consécutivement sur sa ligne, la première du pied, la seconde de la main. Carton rouge et pénalty pour les Blacks Stars. Le stade bourdonne, les vuvuzelas font un boucan d’enfer, tout un continent vibre. Mais la frappe d’Asamoah Gyan fracasse la barre. Aux tirs au but, Gyan a du cran, il tire et marque cette fois. Mais deux de ses coéquipiers échouent et d’une panenka, el loco Abreu crucife le Ghana. Comme le Cameroun en 1990, comme le Sénégal en 2002, le Ghana s’arrête en quarts. AJ

Le XI du Ghana (4-4-1-1) : Kingson – Pantsil, Vorsah, John Mensah, Sarpei – Annan, Inkoom, Asamoah, Muntari- Kevin-Prince Boateng – Gyan.

#28 - OL 2010-2011

OL féminines 2010-2011, victorieuses de leur premier doublé D1-C1

Quelques mots soufflés à l’oreille, une idée qui germe et puis le succès. Voilà la trajectoire en accéléré entre le moment où Thierry Braillard, élu aux Sports à la Ville de Lyon, suggère à Jean-Michel Aulas de se pencher sur le football féminin au début des années 2000, alors que le FC Lyon tombait en ruine et que le foot féminin de haut niveau balbutiait. Le patron de l’OL se saisira réellement du dossier en 2004 pour en faire une fusée. Les résultats ne se feront pas attendre, puisque le premier titre nationale tombe en 2007, suivi d’une première finale européenne en 2010 face à Potsdam. Un moment fondateur pour Sarah Bouhaddi, gardienne et une des premières de cordée. « Certes, c’est une défaite (0-0, 6-7 aux t.a.b), mais le club et le président Aulas avaient fait quelque chose d’énorme : toutes nos familles s’étaient vu offrir un maillot de l’OL et on les a vues arriver au moment de l’échauffement comme ça, assure-t-elle à SO FOOT. Ça nous a vraiment motivées, parce qu’on s’est senties soutenues et reconnues. » De la reconnaissance, des moyens et des ambitions, voilà les ingrédients mis en place pour prendre dès l’année suivante sa revanche et soulever la première des six Ligue des champions.

Aux meilleures joueuses françaises, centralisées sous le pavillon lyonnais, sont adjointes les plus grandes joueuses étrangères, ce qui fait dire à Elodie Thomis à 20 Minutes que « l’OL est comme une Ferrari sur laquelle il n’y aurait qu’une roue à changer chaque été » . Et ces dix ans de règne poussent le New York Times à faire de cette équipe la plus dominante de l’histoire. Rien que ça. MR

Le XI qui a ouvert le règne européen de l’OL face à Potsdam (4-3-3) : Bouhaddi – Viguier, Renard, Georges, Bompastor (cap.) – Henry, Abily, Cruz – Thomis, Schelin, Nécib.

#27 - Espagne 2012

Espagne 2012, championne d’Europe

Au moment de parler de la suprématie planétaire de l’Espagne entre 2008 et 2012, certains évoqueront en priorité le deuxième Euro glané par La Roja dans son histoire avec Luis Aragonés en guide spirituel, quand d’autres parleront de l’unique titre mondial de la Selección acquis en Afrique du Sud en 2010. Mais sans aucun doute, le championnat d’Europe conquis en Ukraine et Pologne restera l’œuvre la plus aboutie de l’équipe nationale espagnole dans cette moisson de trophées continentaux. Pourquoi ? Parce que l’Espagne est parvenue à rester unifiée pour entrer dans l’Histoire contre vents et marées. À cause de quoi ? De la haine viscérale existante à l’époque entre le FC Barcelone de Pep Guardiola et le Real Madrid de José Mourinho. Acteurs principaux des Clásicos, Iker Casillas, Carles Puyol et Xavi Hernandez vont être les pacificateurs fondamentaux dans la préservation de l’osmose en sélection nationale pour aller conquérir un nouvel Euro tout en faisant fi des rivalités en club. Résultat ? Malgré la blessure longue durée de Puyol au préalable et après un match nul contre l’Italie en ouverture de son tournoi (1-1), l’Espagne tape successivement l’Irlande (4-0), la Croatie (1-0), la France (2-0), le Portugal (0-0, 4-2 aux tirs au but) et… l’Italie (4-0). Le 1er juillet 2012, l’Espagne offre une démonstration collective sans réel avant-centre de métier contre la Nazionale en finale, une rencontre au bout de laquelle Cüneyt Çakır décide d’écourter le temps additionnel car la souffrance des Transalpins a assez duré à ses yeux. Pour la première fois dans l’histoire du football, une nation européenne parvient à remporter consécutivement trois tournois continentaux majeurs. Voilà pourquoi cette équipe reste à jamais gravée dans la légende. AD

Le XI de départ contre l’Italie en finale de l’Euro (4-3-3) : Casillas – Alba, Ramos, Piqué, Arbeloa – Busquets, Xabi Alonso, Xavi – Iniesta, David Silva, Fàbregas.

Vidéo

#26 - Pays-Bas 2010

Pays-Bas 2010, finaliste du Mondial

Si la culture de l’instant oblige à retenir le nom du vainqueur et non du finaliste, la mémoire, elle, n’oublie pas ce qu’elle a vu durant une compétition. Et si c’est l’Espagne qui est sortie vainqueur de la Coupe du Monde 2010, l’équipe qui a émerveillé les supporters du monde entier disputait ses rencontres avec un maillot orange et avait comme meneur de jeu Wesley Sneijder. Au sommet de son art et récent vainqueur de la Ligue des Champions avec l’Inter, le milieu néerlandais a tout simplement roulé sur la compétition avec ses 5 buts – meilleur buteur ex aequo avec Forlan, Muller et Villa – et 4 trophées de homme du match. Soit plus que n’importe quel autre joueur du tournoi. Mais aussi soyeux soit-il Wesley Sneijder n’a pas été le seul homme fort de ces Pays-Bas qui était un parfait alliage de technique (Robben, Van Persie, Sneijder) et de bourrins prêts à donner leur corps à la science (De Jong, Van Bommel, Heitinga). Une symbiose qui fonctionne parfaitement des qualifications – terminées avec 8 victoires en autant de matchs – à la finale avec notamment un sublime quart de finale contre le Brésil (2-1) et une non moins extraordinaire demie face à l’Uruguay (3-2). Avant que le réalisme de l’Espagne, le talent de Andrés Iniesta, la bêtise de John Heitinga et la malédictions des Oranje en finale de Coupe du monde les rattrapent. Cruel. SO

Le XI des Pays-Bas qui s’est incliné contre l’Espagne en finale de Coupe du monde (4-2-3-1) : Stekelenburg – Van der Wiel, Mathijsen, Heitinga, Van Bronckhorst – De Jong, Van Bommel – Robben, Sneijder, Kuyt – Van Persie.

#25 - Brésil 2014

Brésil 2014, humilié

C’était écrit que ce Brésil collection 2014 devait être l’une des équipes les plus marquants de la décennie. Il faut dire que la Seleção était programmée pour remporter SA Coupe du monde un an après avoir annoncé la couleur en roulant sur l’Espagne en finale de la Coupe des Confédérations (3-0). Cela ne faisait alors pas de doutes, le Brésil allait décrocher sa sixième étoile chez elle et ainsi venger le traumatisme du Mondial 1950 perdue face à l’Uruguay devant près de 200 000 spectateurs au Maracana. Sauf que très vite rien ne s’est passé comme prévu pour une équipe qui s’est laissée submergée par l’émotion à l’image des hymnes où les joueurs laissaient couler leurs larmes. Heureusement, un Neymar exceptionnel, un arbitrage légèrement favorable et un brin de réussite permet au Brésil de rejoindre le dernier carré après un quart de finale contre la Colombie (2-1) qui aura vu Thiago Silva prendre un carton jaune synonyme de suspension au prochain match et un Neymar mettre fin à son Mondial après un coup de genou dans le dos de Juan Zúñiga. Le début de la fin pour le Brésil qui deviendra alors l’équipe l’une des équipes les plus marquantes de la décennie non pas pour sa victoire finale mais pour avoir encaissé un violent 7-1 chez elle au Mineirão de Belo Horizonte face à l’Allemagne. Un match qui restera gravée à jamais dans la tête des joueurs, des Brésiliens et des supporters du monde entier. Et puisqu’il était encore possible de creuser, le Brésil s’est ensuite fait découdre par les Pays-Bas pour le match de la troisième place (0-3). En même temps, à un moment donné jouer avec Fred et sa moustache en numéro 9 ça ne pardonne pas. SO

Le XI du Brésil qui s’est fait fesser par l’Allemagne en demi-finale de la Coupe du monde 2014 (4-2-3-1) : Júlio César – Maicon, Dante, David Luiz, Marcelo – Gustavo, Fernandinho – Bernard, Oscar, Hulk – Fred.

#24 - Chelsea 2011-2012

Chelsea 2011-2012, 6e de Premier League, vainqueur de la Ligue des champions et de la FA Cup

Sur l’écran de Sky Sports, un homme en sueur. Il porte un brassard au biceps gauche et ne sait plus trop où donner de la tête. Alors, il préfère parler : « C’est complètement fou… On a perdu si souvent contre les Allemands, et j’ai perdu aussi tant de fois avec Chelsea… Permettez, please ? J’aimerais envoyer un petit message à mes deux filles : je vous avais dit que Chelsea était la meilleure équipe du monde et, ce soir, on l’a été ! Oui, on l’est ! » La saison 2011-2012 du Chelsea FC devait pourtant être celle de tous les cauchemars : un effectif en vrac, un Villas-Boas, alors entraîneur le plus cher du monde, qui se plante, un championnat rapidement lâché… Puis, des miracles : lors des huitièmes de finale de la Ligue des champions, Ashley Cole sauve une reprise de Maggio et empêche le Napoli de boucler le match aller avec trois buts d’avance (3-1 au final) ; en quarts de finale, face à Benfica, David Luiz vole à son tour au secours des Blues et éteint un pétard de Cardozo ; dans le dernier carré, Cech est sauvé deux fois par ses montants, puis Messi manque un penalty un retour, qui aurait permis à Chelsea de mener 3-1… Finalement, rien de tout ça et lors de la finale face à un Bayern évoluant chez lui, à Munich, Cech se transforme de nouveau en héros et détourne un penalty de Robben en pleine prolongation. L’autre mutant s’appelle Didier Drogba, buteur à la 88e minute de la finale et auteur du penalty décisif. Voilà comment, aussi, Roberto Di Matteo est devenu champion d’Europe, quatorze jours après avoir soulevé la FA Cup face à Liverpool. Mythique. MB

Le XI de la finale face au Bayern (4-1-4-1) : Cech – Bosingwa, D. Luiz, Cahill, Cole – Mikel – Kalou, Mata, Lampard, Bertrand – Drogba.

Vidéo

#23 - OM 2014-2015

OM 2014-2015, 4e de Ligue 1, champion des frissons

L’espoir et la curiosité. Voici les sentiments éprouvés par les Marseillais, quand Marcelo Bielsa arrive sur la Canebière après deux années pas franchement exaltantes avec Baup puis Anigo. Ils voulaient vibrer ? Ils vont en avoir pour leur argent ! Immédiatement la ligue 1 découvre un fou qui trimbale sa glacière aux quatre coins de France et de Navarre, qui transforme les conférences de presse vides en cours magistraux, qui a des idées et qui veut mourir avec, qui polarise l’attention malgré lui. Bielsa conquiert le Vélodrome. Pas seulement pour sa personnalité. Mais surtout parce que l’OM est irrésistible en première partie de saison. Payet est en feu, Jérémy Morel devient le meilleur défenseur central de France, Imbula une pieuvre au milieu de terrain. Il y a de l’amour dans l’air même si les joueurs bossent comme des fous (muy bien Imbula carajo !). L’OM est champion d’automne et même quand les olympiens perdent, il se passe quelque chose. Mais après la trêve, ils commencent à perdre un peu trop. 4 défaites en 4 matchs en avril dont un 3-5 contre Lorient ! A ce compte là, l’OM de l’argentin termine à la place du con, la quatrième. Une saison aussi folle que frustrante, qui donne du grain à moudre aux détracteurs de Bielsa aussi bien qu’à ses admirateurs. AJ

Le XI de l’OM(4-2-3-1): Mandanda- Dja Djedje, Morel, Nkoulou, Mendy – Romao, Imbula – Thauvin, Payet, Ayew – Gignac.

#22 - Real Madrid 2011-2012

Real Madrid 2011-2012, champion d’Espagne avec 100 points et 121 buts marqués

Pour beaucoup d’amoureux du ballon rond, le Barcelone de Pep Guardiola est l’une des équipes la plus spectaculaires de l’histoire du football. Ce qui n’est pas totalement faux. Pourtant, une équipe a fait encore plus fort en Liga que la bande à Guardiola : le Real Madrid de José Mourinho. Car oui, le technicien portugais n’a pas toujours été un entraîneur défensif. Il n’y a qu’à voir les chiffres de la Maison-Blanche qui termine le championnat avec 121 buts inscrits – battant ainsi le précédent record qui appartenait déjà aux Merengues avec 108 pions -, mais aussi avec 100 points au compteur, une différence de buts de +89 et un total de 32 victoires. Trois autres records battus. Il faut dire que cela aide quand on a des attaquants qui répondent aux noms de Cristiano Ronaldo (46 buts en Liga), Karim Benzema (21 pions) et Gonzalo Higuain (22). Mais aussi des passeurs tels que Mesut Ozil (17 offrandes en Liga) et Angel di Maria (16). Mais ce n’est pas seulement pour ces chiffres ou cette victoire en Liga – après quatre ans de disette – que ce Real Madrid 2011-2012 est inoubliable. Il y a aussi cette bagarre en Supercoupe d’Espagne entre David Villa et Mesut Ozil qui termine avec un doigt de José Mourinho dans l’œil de Tito Vilanova alors adjoint de Guardiola. Mais aussi ce fameux « calma » de Cristiano Ronaldo adressé aux supporters du Camp Nou après le but de la victoire et du titre pour le Real Madrid lors de la 35e journée. Ou encore ce penalty envoyé dans l’espace de Sergio Ramos lors de la défaite du Real aux tirs au but face au Bayern Munich en demi-finale de la Ligue des Champions.SO

Le XI du Real Madrid qui s’est imposé à Barcelone lors de la 35e journée de Liga (4-2-3-1) : Casillas – Arbeloa, Ramos, Pepe, Coentrao – Khedira, Alonso – Di Maria, Ozil, Ronaldo – Benzema.

#21 - Atlético 2013-2014

Atlético 2013-2014, champion d’Espagne et finaliste de la C1

1. C’est le nombre d’équipes autres que le Real Madrid et le Barça a avoir remporté la Liga depuis 2005. Et il s’agit de l’Atlético de Diego Simeone en 2014 qui met fin à 18 ans de disette pour les Colchoneros en championnat. Un trophée acquis avec du talent – un peu -, de l’abnégation – beaucoup – et des cojones – énormément – à l’image de l’attaquant Diego Costa en somme. Car ils sont peu nombreux à avoir parié la victoire finale de l’Atletico en début de saison. Et même avant la 38e et dernière journée où les Colchoneros se rendaient au Camp Nou avec l’interdiction de perdre. Impossible ? Pas pour les hommes de Diego Simeone survoltés comme à leur habitude et pour Diego Godin qui permet à l’Atletico de gratter leur point le plus important des années 2000 (1-1). Quelques jours plus tard le défenseur uruguayen pensait devenir un véritable héros en ouvrant le score en finale de ligue des champions face au rival du Barça. Mais c’était sans compter sur ce briseur de rêve Sergio Ramos qui égalise à la dernière seconde avant que ses potes se chargent de faire pleurer les supporters de l’Atlético en prolongations (1-4). Une défaite qui ne fait pas pour autant oublier une saison stratosphérique. SO

Le XI de l’Atletico qui s’est incliné en finale de la Ligue des Champions face au Real Madrid (4-4-2 : Courtois – Juanfran, Miranda, Godin, Luis – Raul Garcia, Tiago, Gabi, Koke – Diego Costa, Villa.

Par la rédaction de sofoot.com

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