Une situation à laquelle il faut fatalement s’adapter : « Comme tous les matchs qui se succèdent, c'était tendu, compliqué, on essaye de lutter à chaque fois avec de la générosité et de la solidarité. On n'a pas noté beaucoup d'occasions de part et d'autre (…) Il y a une situation plus favorable à Bordeaux qui a réussi à marquer ce but et derrière, cela a tenu. On a beaucoup de joueurs absents au niveau des attaquants, c'était incroyable. » s’est-il défendu en conférence de presse.
Si le niveau de jeu marseillais inquiète, force est de constater que sans André-Pierre Gignac, Loïc Rémy et Jordan Ayew, les handicaps offensifs ne manquent pas.
Baup sait sa marge de manœuvre quasi nulle. Le message, si tant est qu’il en soit bien un, est limpide lorsqu’il fit entrer le vaillant Fabrice Apruzesse à vingt minutes du terme. Le remplaçant de Mathieu Valbuena, arrivé de Marseille Consolat (CFA) cet été, n’a tout simplement pas le niveau Ligue 1. Les dirigeants olympiens ont pu le constater hier.
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