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Raphaël Varane : « Paul, c’est le feu. Moi, c’est plus l’eau »
Varane n’avait marqué aucun but cette saison, et il a bien choisi son jour pour ouvrir le compteur.
L’homme n’est pas du genre à s’emballer, mais il ne peut cacher un petit sourire en parlant de ses belles performances depuis le début du Mondial : « J’avais raté l’Euro 2016, ça me fait plaisir de retrouver une grande compétition en étant bien physiquement et bien mentalement. »
En demi-finales, le défenseur du Real croisera la route de la Belgique. Un pays qu’il connaît bien puisqu’il a passé sa jeunesse à quelques kilomètres de la frontière : « Il y a un rapport affectif. Quand j’étais petit, parfois j’avais des tournois de foot en Belgique. J’ai des amis aussi là-bas, il y a forcément un lien un peu particulier. Mais sur un affrontement en Coupe du monde, il n’y a pas d’amis. »
Ses vrais potes, ils sont en équipe de France. Et si le collectif tourne aussi bien, c’est en grande partie parce que les Bleus ont des personnalités différentes et qui se complètent. Une théorie qu’il a illustrée en donnant cet exemple : « Paul, c’est le feu. Moi, c’est plus l’eau. »
Pas mal, le nouveau Pokémon.
AD, à Istra