A en croire la presse russe ce matin, oui. La décision du premier ministre Vladimir Poutine de ne pas se rendre à Zurich pour assister au vote de la FIFA montre que les chances de la Russie, initialement présentée comme favorite, sont réduites.
L'ancien président dénonce une « concurrence déloyale » dans une allusion à peine voilée à la présence du Premier Ministre britannique David Cameron, du prince William et de David Beckham pour appuyer la candidature anglaise.
Venant d'un type qui s'était déplacé au Guatemala en 2007 pour ramener les JO d'hier à Sotchi, ça la fout mal.
MM
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