D’une ville à une autre,
D’un stade à un autre,
D’une ligue à une autre,
D’un homme à un autre,
Père, fils, frère, ami,
Quelque chose nous réunit tous.
Nulle victoire, nulle défaite,
Ne saurait effacer cette madeleine de Proust,
Si populaire et bienveillante.
Aux abords des stades,
Tu nous enivres de ton odeur à l'arrivée,
Et nous réconfortes de nos peines finalement,
Que tu sois brunie, brûlée ou encore loupée,
Le principal, c’est que tu nous montes au nez,
Tu nous réchauffes le cœur.
Il nous tarde de te voir reprendre ta place,
Pour se rendre compte que le bonheur,
C'est simplement de se réunir autour de toi.
Ligue 1, tu nous manques
Sandwich merguez, on t’aime. »
Par Adrien Cachot.
Pour manger chez Adrien Cachot, ça se passe ici.
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