Dans celle-ci, le Portugais déclare qu'il ne stresse jamais pendant un match parce qu'il sent quand les choses vont arriver. Il prend pour exemple son dernier match face à Norwich. « J'ai des pressentiments. Je sens le jeu. Quand Demba Ba a manqué son occasion, j'ai senti qu'on allait en prendre un. » Et ça n'a pas raté.
Un sixième sens qui, tout naturellement, l'a aidé dans son coaching payant de faire entrer Willian et Hazard en jeu en deuxième période : « À 1-1, on aurait tout autant pu perdre que gagner, car nous ne voulions pas d'un seul point. Je pense que c'est toute l'équipe, et pas seulement les remplaçants, qui a bien su résister à la pression. »
Après Mourinho l'éleveur de chats et le cuistot, voilà maintenant Mourinho qui tire les cartes. UB
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