Moggi se fait Blanc
Luciano Moggi est une institution en Italie. L’image du dirigeant sale, corrompu, roublard, c’est un peu le fond de commerce du calcio.
Lucky Luciano est le prototype même du mec que l’on déteste adorer ou que l’on aime détester, au choix. Alors que son club de cœur, la Juventus Turin, s’enfonce doucement dans la crise, Moggi n’oublie pas de fustiger les principaux responsables.
Au premier rang desquels, les dirigeants turinois dont le Français Jean-Claude Blanc : « Les responsables sont Secco et Blanc même si Secco beaucoup moins, c’est Blanc le vrai responsable de ce désastre. Il aurait mieux fait de rester en France, je n’ai aucun doute là-dessus. Cobollo Gigli était un meilleur dirigeant. Paolucci et Candreva ? Paolucci n’est qu’un numéro bis, Candreva c’est une perspective pour l’avenir mais la Juventus n’a pas besoin de joueur à ce poste » .
Reviens Luciens, vite !
MF