Avant de se rendre à Rennes mercredi, pour y jouer un huitième de finale de Coupe de la Ligue (20h55), le coach aquitain met au parfum « Coco » . « Ça fait longtemps qu’il sait qu’il peut marquer, et ça fait longtemps qu’on lui répète, martèle J-Lo. On n’arrête pas, parce qu’il n’est pas maladroit devant le but, ajoute-t-il. Mais c’est toujours le poteau, le gardien, un genou… Il n’a pas de cul ! »
Pas de cul, mais de la chatte, quand il glisse le ballon dans un trou de souris, laissé libre par Penneteau ? Pas vraiment. « Je sais qu’il est capable de marquer, sauf que dans sa tête, il se met des limites, explique le technicien. C’est comme quand il se dit qu’il n’est pas capable de finir un match ; il se met des barrières là-aussi, alors que physiquement, c’est le plus costaud au club ! Il faut faire avec, mais je suis content pour lui, vu tout ce qu’il a pris dans la tête. C’est donc une bonne récompense. »
T’as entendu, Cheikh N’Diaye ? LB, à Bordeaux
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