Pour Marseille et son milieu défensif Diarra, l'essentiel est d'éviter le Barca: « On l'a vu au clasico, Barcelone est un cran au-dessus même si le Real a réduit l'écart. Mais le Barça, c'est très fort » . A Lyon, même son de cloche, et mêmes prières. Gonalons en prêcheur : « Je souhaite éviter de tomber sur Barcelone qui a été une nouvelle fois extraordinaire lors du Clasico » .
Les Bad Gones partent tout de même avec un avantage sur leurs compères phocéens : ils ont déjà pris leurs 6 pilules contre le Real Madrid en poule, ce qui les exempt d'une autre confrontation en huitièmes avec l'autre ogre européen.
Si Diarra choisit Nicosie, « l'adversaire le plus abordable » , Gonalons préfère rester prudent, et se méfie du club chypriote : « Si cette équipe s’est qualifiée en terminant en tête de son groupe, cela doit signifier quelque chose » . Et chez les premiers, qui a envie de tirer Marseille ou Lyon ? AS
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