« Ça peut paraître tout bête, mais c’est déjà tellement difficile d’arriver à construire ou agrandir une famille quand on est homosexuel que, quand on vous refuse en plus des jours à la naissance de votre enfant, c’est moralement dur. Là, mon congé a été tout de suite accepté. Cela me permet de préparer sereinement, sans prise de tête et sans mauvais jugement l’arrivée de mon bébé. Franchement, je suis vraiment heureuse. Si on m'avait dit non, je me serais battue pour mes droits. Ça n’a rien à voir avec du féminisme ou un plaidoyer pro-homo, c’est juste le respect des valeurs et de la non-discrimination. »
À 37 ans, Marinette Pichon sera maman pour la deuxième fois.
AP
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