Les notes de Feyenoord-OM

Au four et moulin, décisif d'une surface à l'autre, capable de souffler la révolte à lui seul... Qui d'autre que lui comme nouveau Premier ministre ?

Un doublé dont un deuxième pion offert sur un plateau par Ćaleta-Car, et maintenant 9 buts sur les 8 derniers matchs de C4. Loin d'être gavé, le Feyenoord reprendrait un peu de Dessers la semaine prochaine. Remplacé par Jahanbakhsh (82^e), moins gourmand.

Après la résurrection de Mino Raiola dans la journée, on a eu le droit à celle du grand Marcelo à Rotterdam.

Homme à tout faire, le minot a bien grandi pour s'imposer comme parrain du milieu marseillais. Intraitable, malgré son espérance de vie limitée sur le Vieux-Port.

Un centième match européen sous le même maillot, c’est beau. Mais la dernière fois qu’un gardien français a autant bugué face à un Croate, c’était Hugo Lloris en finale du Mondial 2018. Sauf que Mandzukić ne jouait pas en bleu, lui.

Des câbles de fibre optique sectionnés dans plusieurs grandes villes de France ? Appelez Cédric Bakambu, meilleur outil pour remettre du lien dans un bloc coupé en deux. Remplacé par Pape Gueye (46^e), en edge.

Une balade pas vraiment rock'n'roll, mais sans fausse note. On a tous quelque chose en nous de Senesi.

Une énorme impression de gâchis, mais quand même de l’espoir après une illumination qui a relancé son camp, remplacé par Arkadiusz Milik (84^e), pas servi.

De remplaçant sous-coté et remis en question à auteur d'une envolée d'albatros décisive en demi-finales européennes. Le Yohann Pelé d'Israël.

Avec Kourou, la Guyane n'est plus le seul département d'Outre-mer doté d'un lanceur de fusée. Même si celles lancées par Payet n'ont pas toutes été mises sur orbite.

La version turque de Phillip Cocu, qui a préféré le Feyenoord au PSV, est plutôt aboutie.

Un patronyme trompeur pour un ailier encore plus lumineux que le kop du Feyenoord à l'entrée des joueurs.

A disputé tous les matchs de l'OM cette saison, et ça commence à se voir.

Un premier tour plein de sérénité avant de peu à peu s'écrouler dans le second, perdu à force de trop colmater à gauche. Marine Le Pen. Remplacé par Amine Harit (69^e), arrivé trop tard.

Siphonné par les appels dans son dos, il a vite coulé dans la baignoire de Rotterdam.