- Ligue 1
- J2
- Marseille-Bordeaux (2-2)
Les notes d’OM-Bordeaux
Au terme d'un nouveau match spectaculaire, Marseille a finalement lâché deux points face à Bordeaux (2-2) après avoir mené de deux buts. Un match qui a de nouveau mis en lumière Payet et Ünder, mais également Oudin et Pembélé, supersubs.
Milieux
Cengiz Under
Deux buts en deux matchs, tout en sous-marin. Cengiz Ünderground, jusqu’à ce que sa jambe lâche. Remplacé par Nemanja Radonjić (73e), qui pensait faire gronder le Vélodrome plus fort que l’orage au-dessus de Marseille. À trois mètres près.
117 note(s)
Samuel Kalu
Une énorme frayeur – un malaise qui s’avèrera vagal – qui a tout de suite rappelé le cas Christian Eriksen. Avant de se relever, revenir sur le terrain, puis sortir pour éviter une grosse bêtise. Remplacé par Rémi Oudin (14e, 7), au coup de patte aussi inattendu que son tacle salvateur. Rémi Soudin.
63 note(s)
Dimitri Payet
Un nouveau match taille patron, sanctionné d’un point de pénalité pour cette coupe de cheveux qu’il faut absolument changer. Vraiment.
126 note(s)
Gerson
Payet n’est plus le seul à pouvoir délivrer des passes décisives de qualité, et c’est une très mauvaise nouvelle pour les adversaires de l’OM. Remplacé par Valentin Rongier (72e), et pas que son frein.
112 note(s)
Toma Basic
Solide et efficace. Simple, Basic.
75 note(s)
Ui-jo Hwang
Visiblement, son unique objectif était de se positionner pour le prix Puskás en tirant du milieu du terrain. Remplacé par Sékou Mara (85e), un jaune et un rouge provoqué. Une mauvaise blague pour l’OM.
75 note(s)
Défenseurs
Leonardo Balerdi
Sous cette chaleur qui a atteint les 30 degrés, Balerdi a décidé de sortir son plus beau sombrero : une initiative totalement validée. Son tacle non maîtrisé sanctionné d’un rouge sur Mara beaucoup moins.
118 note(s)
Luan Peres
Deux CSC, ou presque, en deux matchs. Vivement le jour un pour Luan.
108 note(s)
Mexer
Sauvé par la VAR qui somnolait, rattrapé par Petković qui l’a sorti à la pause. Remplacé par Timothée Pembélé (46e, 7,5), qui a réalisé le rêve de tout Titi parisien : marquer contre Marseille, qui plus est au Vélodrome.
72 note(s)
Laurent Koscielny
Seuls quelques stigmates trahissaient ses presque 36 ans. Jusqu’à ce qu’il croise Dimitri Payet ce soir, devant lequel il a reculé comme face à un certain Éder.
70 note(s)
Gardien
Benoît Costil
Dix ans qu’il est en Ligue 1, et il n’a toujours pas intégré les frappes premier poteau de Payet. Et ce n’est pas beau de faire porter le chapeau à ses défenseurs, qu’il aurait pu briefer avant. D’où notre question : Benoît cause-t-il ?
82 note(s)
Steve Mandanda
Chaque frappe cadrée devient un instant de torture pour les supporters marseillais. Et ce bon vieux Steve a de plus en plus de mal à les rassurer.
121 note(s)
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Par Fabien Gelinat
