Antonio Conte, déjà sanctionné de 4 mois de suspension en 2012, après avoir omis de révéler les manipulations du résultat d'un match de Sienne dont il était l'entraîneur, en 2011-2012, vient d'être de nouveau mis sur le banc des accusés par le procureur du parquet de Crémone, Roberto di Martino, au même titre que 104 autres individus. Coupable « passif » lors du premier jugement, le sélectionneur italien est aujourd'hui soupçonné par le proc' d'avoir joué un rôle bien plus actif dans ce scandale.
Charge désormais au juge de renvoyer - ou non - Conte, soutenu par son président de Fédération, Carlo Tavecchio, devant la justice italienne.
NM
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