Blessé lors de la Coupe du monde 2006 en Allemagne, Zebina n'avait pas fait partie de l'aventure de l'équipe de France qui la mena (presque) à un deuxième sacre mondial. « Lors de la finale contre l'Italie, je n'ai pas prié pour que la France perde, mais je n'aurais pas été spécialement heureux si elle l'avait emportée » , avoue-t-il franchement. Un tel constat méritait tout de même une explication de texte. L'ancien Brestois la livre simplement : « Manquer une Coupe du monde, c'est déjà difficile. Passer à côté d'une victoire en Coupe du monde, là tu ne t'en remets pas ! »
On dit merci qui ? Merci Trézéguet, bien sûr ! ALG
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