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L’équipe type des amateurs de musique

Par CG, GC, RG et GM
L’équipe type des amateurs de musique

Zlatan a beau avoir chopé un Disque d'or avec une reprise en mousse de l'hymne suédois, c'est quand même beaucoup plus drôle quand Michel Jonasz, Daniel Balavoine et les autres chantent les footballeurs.

Le onze type

Ali Ahamada, docteur en faute de mains : « Alors ouais, j’me la raconte, ouais ouais, je déconne / Non non, c’est pas l’école qui m’a dicté mes codes / On m’a dit qu’t’aimais le rap, voilà de la boulette / Sortez les briquets, il fait trop dark dans nos têtes » (Diam’s)

Ashey Cole, en pleine dispute avec Cheryl après une infidélité : « On prenait notre couple en exemple / Notre histoire était si belle si attendrissante tu sais / Comment t’as pu faire pour tout gâcher / Toujours à m’espionner » (Amine)

Souleymane Diawara, de retour en boîte depuis sa sortie des Baumettes : « Un peu parti un peu naze / J’descends dans la boîte de jazz / Histoire d’oublier un peu le cours de ma vie » (Michel Jonasz)

John Terry, confession nocturne : « Wayne, assieds-toi faut que j’te parle, tu vas passer ta journée dans le noir » (Diam’s et Vita’a)

Lilian Thuram, mémoire vivante de l’esclavage : « Des champs de coton / dans ma mémoire / trois notes de blues / c’est un peu d’amour noir. » (Jean-Jacques Goldman)

Lassana Diarra, de retour à l’OM après une saison blanche : « Tant d’échecs, tant de défaites / Ont forgé le mordant, pour encaisser les coups dans ma mentalité / Fauché, sans occupation, il n’y a pas pire / Je ne possédais rien et je voulais fonder un empire » (Akhenaton)

Marco Verratti, au top : « L’amour brille sous les étoiles / D’une étrange lumière / La terre entière, en parfaite harmonie / Vit sa plus belle histoire / L’amour brille sous les étoiles / Illuminant leurs cœurs / Sa lumière éclaire à l’infini / Un sublime espoir » (Le Roi Lion)

Yoann Gourcuff, à bas la pression : « Même les soirs de drame / Il faut trouver la flamme qu’il faut / Pour toucher les femmes / Qui me tendent les mains / Qui me crient qu’elles m’aiment / Et dont je ne sais rien / C’est pour ça qu’aujourd’hui / Je suis fatigué / C’est pour ça qu’aujourd’hui / Je voudrais crier / Je ne suis pas un héros / Mes faux pas me collent à la peau / Je ne suis pas un héros / Faut pas croire ce que disent les journaux / Je ne suis pas un héros » (Daniel Balavoine)

Ezequiel Lavezzi, grillé sur les réseaux sociaux : « Y a beaucoup de ragots qui circulent ton dos, entendu des cassettes et j’ai vu des vidéos (…) Quoi qu’on dise sur toi, t’es ma salope à moi, quoi qu’on dise sur toi, j’suis love de toi » (Doc Gyneco)

Nicolas Anelka, une dernière pige en Inde : « Malgré tout ce qui s’est passé j’ai pas changé / J’suis toujours le même enfoiré, j’retourne pas ma ste-ve / Non, j’garde mes principes et mes points d’attache / J’kiffe pas la célébrité, j’ramasse juste mon cash » (Sniper)

Mario Balotelli : « Ne me dites pas que ce garçon était fou / Il ne vivait pas comme les autres, c’est tout / Et pour quelles raisons étranges / Les gens qui n’sont pas comme nous / Ça nous dérange, ça nous dérange ? » (France Gall)

Les remplaçants

Stéphane Ruffier, qui ne sait pas placer son mur : « J’fais des trous des p’tits trous encore des p’tits trous / Des p’tits trous des p’tits trous toujours des p’tits trous / Des trous de seconde classe / Des trous d’première classe » (Serge Gainsbourg)

Sergio Ramos, expert du penalty lunaire : « Je sens quelque chose, qui m’attire / qui m’attire / qui m’attire vers le haut » (Daniel Balavoine)

John Terry, qui tente de se dédouaner : « Elle s’est avancée / Rien n’avait été organisé / Autour de moi elle a mis ses bras croisés / Et ses yeux se sont fermés » (Souchon)

Samuel Umtiti, épaulé par Bakary Koné : « Il manque quelqu’un près de moi / Je me retourne : tout le monde est là / D’où vient ce sentiment bizarre que je suis seul ? » (Michel Berger)

Bernard Mendy, expatrié en Inde avec Apoula Edel : « Deux étrangers au bout du monde, si différents / Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant » (Axelle Red)

Adrien Rabiot, dernier grand espoir formé au PSG : « Tous mes amis sont partis / Mon cœur a déménagé / Mes vacances c’est toujours Paris / Mes projets c’est continuer / Mes amours c’est inventer / Si maman si / Si maman si / Maman, si tu voyais ma vie / Je pleure comme je ris / Si maman si / Mais mon avenir reste gris / Et mon cœur aussi » (Michel Berger)

Steven Gerrard, bye bye Liverpool : « Je suis venu te dire que je m’en vais / Et tes larmes n’y pourront rien changer / Comme dit si bien Verlaine / Au vent mauvais / Je suis venu te dire que je m’en vais » (Serge Gainsbourg)

Nabil Fekir, finalement arrêté par la blessure : « Je viens de loin, et vu mon teint, j’dois faire les choses bien / Mais qui peut me stopper ? J’ai renié, mon identité, j’peux pas essayer / Mais qui peut me stopper ? » (La Fouine)

Mesut Özil, comme un poisson dans l’eau sur le terrain : « J’aime, j’aime tes yeux / j’aime ton odeur / tous tes gestes en douceur / lentement dirigés / sensualité. » (Axelle Red)

Lucas, qui balance du lourd sur MSN à Laure Boulleau : « J’dors plus la nuit, j’fais des voyages / Sur des bateaux qui font naufrage / J’te vois toute nue sur du satin / Et j’en dors plus, viens m’voir demain » (Richard Cocciante)

Arjen Robben, métronome du dribble intérieur : « C’est avec classe et ça marche à chaque fois ! » (Corneille)

Anthony Martial, nouveau héros de Manchester United : « Tu seras mon futur à présent / mon chemin face au vent / la vie a tout le temps » (Emma Daumas)

Zlatan Ibrahimović, avant moi il n’y avait rien : « Aimez-moi à genoux j’en suis fou / Et si ça vous fait peur / Dites-vous que sans moi / vous n’êtes rien du tout / Tout pour rien, rien pour vous / Vous m’aimez mais je joue / J’oublie tout / Confidence pour confidence / C’est toujours moi que j’aime à travers vous » (Jean Schultheis)

La réserve :

Chancel Mbemba, l’homme aux quatre dates d’anniversaire : « Hier encore / j’avais 20 ans / je gaspillais le temps / et jouais de la vie. » (Charles Aznavour)

Youssef El Arabi, en pige au Qatar : « J’m’arrache au soleil / Mon existence d’avant finie, je la raye / Désormais plus rien ne sera jamais pareil / Pour ma famille et mes potes, la vie sera belle / Je m’occupe d’mon oseille » (Black Mamba)

Adebayo Akinfenwa, 106 kilos de muscles : « La puissance, dès que j’arrive / sens ma rage de vivre » (Rohff)

Freddy Adu, ancien successeur officiel de Pelé : « On oublie, hier est loin, si loin d’aujourd’hui / Mais il m’arrive souvent de rêver encore / À l’adolescent que je ne suis plus / On sourit en revoyant sur les photos jaunies / L’air un peu trop sûr de soi que l’on prend à 16 ans / Et que l’on fait de son mieux pour paraître plus vieux » (Dave)

Alexandre Lacazette, toujours à Lyon après un été agité : « Ne me quitte pas / Il faut oublier / Tout peut s’oublier / Qui s’enfuit déjà / Oublier le temps / Des malentendus / Et le temps perdu » (Jacques Brel)

Bryan Dabo, victime d’une flaque d’eau : « Alerte à Malibu / Je me jette dans les vagues / Une tasse-pé se noie / C’est si bon pour la drague » (La clinique)

Zahia, en pleine action avec Franky : « Une nuit je m’endors avec lui / Mais je sais qu’on nous l’interdit / Et je sens la fièvre qui me mord / Sans que j’aie l’ombre d’un remords / Et l’aurore m’apporte le sommeil / Je ne veux pas qu’arrive le soleil / Quand je prends sa tête entre mes mains / Je vous jure que j’ai du chagrin » (Véronique Sanson)

Franck Ribéry, au tribunal : « Ça fait longtemps que t’es partie / Maintenant / Je t’écoute démonter ma vie / En pleurant / Si j’avais su qu’un matin / Je serai là, sali, jugé, sur un banc / Par l’ombre d’un corps / Que j’ai serré si souvent » (Daniel Balavoine)

André-Pierre Gignac, qui a préféré le Mexique à la Russie : « On peut viser ton blé, ta femme et son vison / Mais qui peut se vanter d’avoir touché l’horizon ? » (Oxmo Puccino)

Karim Benzema, qui ne veut pas chanter la Marseillaise : « Le jour du quatorze-Juillet / Je reste dans mon lit douillet / La musique qui marche au pas / Cela ne me regarde pas / Je ne fais pourtant de tort à personne / En n’écoutant pas le clairon qui sonne / Mais les braves gens n’aiment pas que / L’on suive une autre route qu’eux… » (Georges Brassens)

Ronaldo, grillé avec un travesti : « Tourne-toi, tourne-toi / Je me suis donc retourné / Pour ne pas la vexer / J’ai senti son gros machin / Glisser en bas de mes reins / Il s’appelait Jean-Mario / Monté comme un taureau » (Benoît)

Brandão, un peu trop insistant avec les filles : « Quand tes mains voudraient bien / Quand tes doigts n’osent pas / Quand ta pudeur dit non / D’une toute petite voix / Que je t’aime, que je t’aime, que je t’aime » (Johnny Hallyday)

Éverton Santos, recruté par le PSG : « Fallait pas commencer, m’attirer, me toucher / Fallait pas tant donner, moi je sais pas jouer » (Céline Dion)

Jean-Claude Darcheville, toujours gourmand : « Tous les matins il achetait / son petit pain au chocolat / La boulangère lui souriait / Il ne la regardait pas » (Joe Dassin)

Fabrice Apruzesse, joueur de l’OM : « J’irai au bout de mes rêves / Tout au bout de mes rêves / Où la raison s’achève / Tout au bout de mes rêves » (Jean-Jacques Goldman)

Le coach :

Philippe Montanier, qui croit au podium : « Et tant pis si on nous prend pour des demeurés / Bien sûr qu’on sait qu’ici, c’est pas Hollywood / Sauf qu’aux dernières nouvelles / Le fantasme c’est encore gratuit » (Fauve)

Le président :

Jean-Marc Conrad et les matchs arrangés : « Dommage qu’il n’y ait pas toujours de récompense à nos efforts / Qu’a la moindre erreur la justice nous fasse payer le prix fort / On fait c’qu’on peut avec c’qu’on a, les moyens du bord / Mais la devise reste sauve c’qui peut encore l’être / Femmes et gosses d’abord » (Fonky Family)

Le public

Les vrais supporters du PSG, bannis des travées : « On a soif d’idéal / attirés par les étoiles, les voiles / Que des choses pas commerciales / Foule sentimentale / Il faut voir comme on nous parle » (Alain Souchon)

Les vrais supporters de l’OM, qui n’ont pas oublié Drogba : « Je t’attends , je t’attends tout le temps / Sans me décourager pourtant / Comme quelqu’un qui n’a plus personne / S’endort près de son téléphone / Et sourit quand on le réveille / Mais ce n’était que le soleil » (Michel Jonasz)

Retrouvez l’équipe type des amateurs de poésie ici.

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