L'affaire Hamraoui continue de faire parler presque cinq mois après les faits (la Parisienne s'est fait agresser le 4 novembre dernier). Selon les informations de L'Équipe, l'avocat de cette dernière a informé, dans une lettre, la direction du PSG du mal-être ressenti par la joueuse depuis cette affaire. Outre les banderoles et les invectives qu'elle a pu recevoir pendant certaines parties, Me Saïd Harir dénonce surtout « une dégradation des conditions de travail de [sa] cliente, portant atteinte à ses droits, à sa dignité, altérant sa santé mentale et compromettant son avenir professionnel. »
Dans sa missive, l'avocat rapporte un « certain nombre de faits qui altèrent gravement la santé psychologique de ma cliente dans le cadre de son exercice professionnel » . Au cœur de ces allégations, les comportements d'Aminata Diallo, un temps mise en cause dans cette affaire et de Marie-Antoinette Katoto et Kadidiatou Diani qui ont soutenu Diallo publiquement à plusieurs reprises. Toujours selon Me Harir, les trois coéquipières d'Hamraoui l'auraient « provoquée, menacée, insultée et intimidée » . Pour conclure, il demande au club de « faire cesser les troubles dont [sa cliente] est victime afin de préserver sa santé mentale et physique » .
Le groupe vit bien. FP
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