Lorsqu'après la rencontre face au Portugal, il est interrogé sur l'éventualité d'un arrangement téléphonique avec son ancien adjoint Joachim Löw, puisque l'Allemagne et les USA se qualifieraient tous les deux en cas de nul, il n'hésite pas une seconde : « Il n'y a pas d'appels de ce genre, lance-t-il. Jogi est un grand ami, mais là, il est question de victoire. Ce n'est pas le moment pour les coups de fil amicaux. C'est le moment du business. »
Klinsmann est définitivement devenu un vrai Américain. TP, à Manaus
Vous avez relevé une coquille ou une inexactitude dans ce papier ? Proposez une correction à nos secrétaires de rédaction.