Alors c'est, serein, que l'actuel conseiller auprès du club canadien de Toronto annonce sur le site de la fédération allemande de football: "Nous sommes l'équipe qui doit attaquer le numéro un mondial aujourd'hui (l'Espagne, ndlr), le talent est ici".
Et de poursuivre, "la confiance est là après les performances des deux derniers tournois. Le niveau et l'expérience aussi." On l'aura compris, pour Klinsmann, la Mannschaft ne peut que triompher à l'Euro ukraino-polonais. Commode quand on n'est plus sélectionneur.
En revanche, c'est Joachim Löw qui dit merci pour la pression.
AC
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