« Je devais terminer après mes deux saisons à Copenhague. Et Valenciennes s'est présenté. J'avais une proposition d'un club anglais, qui m'obligeait à prendre mes distances. La proximité avec ma famille a été l'un des éléments de mon choix. J'ai estimé qu'il fallait faire un bilan. Un entraîneur doit toujours être présent et servir d'exemple sur le terrain. Se traîner jusqu'au bout n'est pas une finalité. Se dire que c'est sa dernière mission est autre chose. Ce peut être une très belle mission, pas du tout évidente mais je suis disposé à la remplir avec toute mon énergie. »
Bon vent, Ariel.
PP
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