Lors d’un point presse ce mardi, Hiddink cherchait à relativiser : « J'ai encore tant d'énergie quand je monte sur le terrain, je continue à en avoir des frissons, mais il faut bien à un moment faire attention à ne pas trop se répéter, à ce que les gens ne se disent pas : "Encore lui ?" »
Prophète en son pays – il glane six titres de champion des Pays-Bas – Hiddink s’est ensuite fait connaître par son érudition et son intérêt pour les défis internationaux (Corée du Sud en 2002, puis Australie, Russie et Turquie). Certes, les contrats qu’il signe ici et là firent de lui l’un des techniciens les mieux rémunérés de ces dix dernières années, mais Guus finit rarement un exercice sans éloges. « Je continue à trouver le football tellement beau que je pense que je pourrais continuer dans le milieu. Je ne sais pas, conseiller, former de jeunes entraîneurs ou aussi des joueurs (...) sur comment plus ou moins planifier une carrière. » , affirme-t-il lorsqu’il évoque la suite de sa carrière.
La perspective d’emmener les oligarques de l’Anzhi en LDC pourrait cependant repousser d’un an le retrait de « Guus Geluk » .
PG
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