La victime présumée, qui affirme ne pas avoir été consentante lors de ses rapports sexuels avec eux, n’a toutefois « jamais fait état de violences » physiques, selon une source policière reprise par l’AFP. Il reste, malgré tout, à déterminer si des « contraintes morales, psychologiques » ont eu lieu.
Après les analyses physiologiques et toxicologiques sur la plaignante, l’enquête n’a pas avancé plus que ça. Pas plus qu’après la perquisition dans l'appartement où se seraient passés les faits, à Lyon. Dès hier après-midi, sur Facebook, Gomis avait en tout cas nié en bloc ces accusations de viol.
AP
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