Pas de doute, c'est la grosse affiche de la semaine. « Avec un Ateltico Madrid – Liverpool, personne n'a besoin de chercher sa motivation. Pour moi, c'est encore plus particulier, ça me rappelle la Premier League. Même si Manchester était toujours au dessus, les matchs contre Liverpool étaient chauds, ils s'accrochaient » déclare celui, pour ceux qui l'avaient oublié, fut un Red Devils en 2003.
« Les gens là-bas n'ont pas vu le vrai Forlan, mais c'est la faute de l'entraîneur. Je n'ai rien à prouver à Ferguson, aucune rancœur, et puis cela prouve aux gens qu'il y a une vie après Manchester United » poursuit-il.
Si c'est pour dire ça, on peut demander son avis à David Bellion.
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