« Ça ne me gêne pas de me freiner offensivement, parce que c’est pour le bien de l’équipe, je suis assez réaliste, explique le latéral droit intérimaire. Là, je commence à reprendre du rythme, j’attends encore d’avoir plus de sensation, mais j’ai désormais un peu plus de maturité pour réaliser si je peux monter ou pas ; j’analyse mieux, prévient-il. Je suis moins chien fou, plus réfléchi, posé. Oui, j’analyse plus les situations et, surtout, je m’adapte à mon adversaire. »
Lisandro López est prévenu. LB, à Bordeaux
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