« On me demande beaucoup si je ressens de la pression. Et je n'appréhende jamais cette notion. Je préfère parler d'exigence positive et de responsabilité à nous préparer le mieux possible pour ces deux rencontres » , assure le Basque dans les colonnes du journal Marca (un entretien traduit en intégralité par le site Culture PSG).
« Nous serons alors au centre du football mondial, reprend Emery. Et je le vis avec passion, comme je l'ai fait toute ma carrière. J'attends le match avec impatience, pour pouvoir démontrer la force de ce PSG. J'ai envie de le jouer, de l'apprécier... et de le gagner. Sans pression. »
Interrogé sur son image médiatique, l'entraîneur du PSG préfère s'en tenir à son rapport avec ses joueurs : « J'essaie d'être fort vis-à-vis des joueurs. Je me souviens que, quand j'étais joueur, une radio locale donnait systématiquement la composition d'équipe avant que les joueurs ne la connaissent. Et j'ai pensé : "Mon entraîneur n'a pas de crédibilité", car la presse en savait plus que le vestiaire. Et je prends cette devise à la lettre. Je le dis. Je n'ai pas à vendre mon image. Je suis naturel. Ce qui compte, ce sont les joueurs, pas les gens de l'extérieur. » FL
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