Mais celui qui a mené l’OM au titre de champion de France en 2010 est un personnage équitable. Si la cohabitation avec Anigo était invivable, le « board » marseillais n’est pas exempt de tout reproche : « Dans la dernière année, on a "élargi mon pouvoir". Mais c’est du foutage de gueule ! Parce que ma fonction a toujours été la même. On m’a mis "entraîneur général". Ben, j’étais entraîneur de Marseille. Avec ni plus, ni moins de pouvoirs que la première année. C’était juste pour donner un signal… Mais dans la réalité ce n’était pas du tout ça. »
PG
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