« Je ne vais pas me mettre à pleurer pour ça. Ça va être difficile à digérer, mais il faut se dire que ça ne s'arrête pas là... Il faut lever la tête et repartir, en espérant que ça ne se reproduise plus » , a concédé le technicien, sur le mode politiquement correct. Quant à la version originale, en off : « Je ne peux rien dire par rapport aux homosexuels, mais c'est la deuxième fois que je me fais enc... à Bordeaux. »
Voilà, c'est comme ça qu'on t'aime, Pablo.
LB
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